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Aujourd'hui Le Maroc | Maroc | 28/01/2008
SAR la Princesse Lalla Salma a présidé samedi à Rabat une réunion du Conseil scientifique de l'Association Lalla Salma de lutte contre le cancer (ALSC). L'élaboration d'un plan de lutte contre le cancer a été au centre de la réunion.Son Altesse Royale la Princesse Lalla Salma a présidé, samedi à Rabat, une réunion du Conseil scientifique de l'Association Lalla Salma de lutte contre le cancer (ALSC), en présence des membres du Conseil d'administration de l'association et des présidents des sections régionales de l'association. Le conseil scientifique a pour rôle de définir la stratégie d'action de l'association. Il est composé d'éminents professeurs marocains et internationaux dont le professeur Jean- Bernard Dubuisson (Suisse), le professeur Peter Harper (Royaume Uni), le professeur David Khayat ( France) et autres professeurs spécialisés dans le domaine. - [ Lire l'article ]
Aujourd'hui Le Maroc | Maroc | 24/01/2008
Le bureau de l’UNICEF au Maroc a présenté mardi à Rabat, un rapport sur la situation des enfants au Maroc. La mortalité maternelle et celle des enfants de moins de 5 ans inquiète. Près de cinq enfants sur 100 meurent avant l’âge de 5 ans. C’est ce qui ressort du rapport sur la situation des enfants au Maroc qui a été présenté mardi par le bureau de l’UNICEF à Rabat. Ce document donne un aperçu sur l’évolution de la situation au cours des cinq dernières années. S’agissant de la santé de l’enfant, le constat est alarmant. La mortalité infanto-juvénile est en hausse au Maroc depuis 2004 et ce malgré la mise en œuvre de l’assurance maladie obligatoire (AMO). Elle est de 40 décès pour 1000 naissances. « La mortalité infanto-juvénile est passée de 36,6 décès pour 1000 naissances en 1997 à 40 en 2004. - [ Lire l'article ]
Aujourd'hui Le Maroc | Maroc | 22/01/2008
Les déficits immunitaires primitifs qui restent méconnus au Maroc touchent un cas sur 5000 naissances dans le monde. 300 nouveaux cas sont recensés chaque année au Maroc. Les déficits immunitaires primitifs (DIP) touchent 300 nouveaux cas par an au Maroc. Ils constituent un ensemble hétérogène d’affections caractérisées par une insuffisance primitive des moyens de défense contre les micro-organismes. «Les DIP, le plus souvent héréditaires affectent le système immunitaire. Les enfants atteints de la maladie souffrent d’infections aiguës et sont très sensibles aux maladies infectieuses», affirme à ALM le Pr Ahmed Aziz Bousfiha, président de l’Association Hajar et du Groupe d’étude marocain de déficit immunitaire primitif. Au Maroc, l’incidence des DIP serait plus élevée que dans les pays occidentaux en raison du fort taux de consanguinité qui est de 19,9%. Les DIP regroupent près de 100 maladies héréditaires différentes et peuvent être scindés en quatre groupes : les déficits de l’immunité humorale, les déficits de l’immunité cellulaire, les déficits de l’immunité non spécifique et les déficits immunitaires associés à d’autres affections. - [ Lire l'article ]
Le matin | Maroc | 20/01/2008
Décidément, la situation dont souffre le Centre hospitalier régional ne cesse de défrayer la chronique, puisque le décalage entre les principes énoncés par les responsables des divers départements, d'une part, et la réalité sur le terrain, d'autre part, est tout à fait paradoxal. Loin d'être un axe prioritaire de la politique de santé comme le souhaite le gouvernement, et plus particulièrement le ministère de la Santé qui a préparé un nouveau plan d'urgence pour assurer à tous les citoyens des soins de qualité dans les secteurs sanitaires humainement acceptables, les responsables régionaux du secteur, avec à leur tête le délégué régional, agissent autrement et semblent ignorer les véritables objectifs des hôpitaux dont ils assument la gestion. - [ Lire l'article ]
Le matin | Maroc | 18/01/2008
Dans le but de réaliser un centre pour accueillir les retraités dans la ville d'Ifrane, une société française a proposé de profiter d'une clinique médicochirurgicale de 100 lits dans la zone d'extension de cette ville. Ce magnifique établissement bien équipé, datant d'une dizaine d'années, n'a jamais fonctionné depuis son édification par la Fondation Al Akhawayn au milieu du complexe résidentiel de celle-ci tout près d'Ifrane School. - [ Lire l'article ]
Aujourd'hui Le Maroc | Maroc | 23/01/2008
Moulay Abdeslam Skali a été élu parmi les «100 qui feront le médicament de demain». Portrait d’un jeune Marocain qui a fait son entrée dans l’industrie pharmaceutique mondiale. Un secret pour réussir ? Moulay Abdeslam Skali hésite à répondre, car au fond de lui, il n’a jamais pensé à la question. Pourtant, ce jeune Marocain de 31 ans a su s’imposer dans un monde de «grands», celui de l’industrie pharmaceutique. Il a été élu, en novembre 2006 par la revue française «Prescription Santé», parmi les «100 qui feront le médicament de demain (horizon 2012)». «Je ne m'y attendais pas et je n'aurais pas pensé figurer sur cette liste», avoue-t-il. - [ Lire l'article ]
Aujourd'hui Le Maroc | Maroc | 23/01/2008
Les études pour l’obtention du diplôme de docteur en pharmacie durent quatre années au Maroc. Selon le président du conseil de l'Ordre, Salaheddine Karim El Alaoui, ce diplôme n'est pas reconnu par la Fédération internationale des pharmaciens. ALM : Dans le cadre de l'AMO (Assurance-maladie obligatoire), quelles sont les nouvelles mesures prises en faveur des pharmaciens ? Salaheddine Karim El Alaoui : Tout d'abord, il faut noter que le conseil de l'Ordre national des pharmaciens a toujours insisté sur deux points essentiels, à savoir instaurer le droit de substitution des médicaments pour le pharmacien et le développement des médicaments génériques au Maroc. - [ Lire l'article ]
Aujourd'hui Le Maroc | Maroc | 18/01/2008
La ministre de la Santé, Yasmina Baddou a indiqué mardi à la Chambre des conseillers que 1800 cadres médicaux dont près de 500 médecins seront affectés au titre de l’année 2008 à travers le Royaume. Dans le soucis d’assurer l’équité de l’offre de soins entre les régions, la ministre de la Santé, Yasmina Baddou a indiqué mardi à la Chambre des conseillers, que 1800 cadres médicaux seront affectés au titre de l’année 2008 à travers le Royaume. «Les cadres médicaux concernent non seulement les médecins mais également les infirmiers et les administrateurs. Sur ces 1800 cadres, figurent près de 500 médecins», indique à ALM, le ministère de la Santé. L’objectif de cette initiative est de régler le déséquilibre que connaît le système de santé en donnant la priorité aux régions souffrant de déficit en effectif. Selon la ministre de la Santé, le déséquilibre enregistré au niveau des ressources humaines entre les régions s’explique par le fait que les cadres médicaux préfèrent travailler dans les axes qui offrent une meilleure rentabilité économique. - [ Lire l'article ]
Le matin | Maroc | 15/01/2008
«Il y a quelque temps, on m'avait diagnostiqué un prolapsus. Ce problème me paralyse dans ma vie de femme. Je dois tout le temps aller aux toilettes, en marchant je ressens une forte gêne…mais le plus difficile est de ne pas pouvoir en parler», témoigne une jeune femme de 29 ans, maman d'une petite fille de 2 ans. Maladie taboue pourtant fréquente, le prolapsus, communément appelé «descente d'organes», est une complication gynécologique. «Le prolapsus génital se définit comme une chute plus ou moins importante d'un ou de plusieurs organes du pelvis (utérus, vessie, vagin, rectum) qui sont normalement maintenus grâce à un ensemble de muscles, de ligaments et de fibres. Cette pathologie touche principalement les femmes. Les plus prédisposées sont les multipares. - [ Lire l'article ]
Le matin | Maroc | 15/01/2008
Combien d'entre nous connaissent ou ont entendu parler de «maladies lysosomales» ? Cette appellation barbare désigne une affection rare sévissant au Maroc comme dans d'autres pays. Les maladies lysosomales regroupent une cinquantaine de pathologies qui affectent les enfants et les adultes et touchent différents organes en entraînant divers handicaps. Au Maroc, plus de 120 personnes en sont atteintes. Lequel chiffre est sous-estimé par rapport au nombre de personnes non diagnostiquées. Souvent silencieuses, ces maladies peuvent rester des mois ou des années asymptomatiques avant de se manifester sous des formes plus ou moins graves. - [ Lire l'article ]
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