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Proposé par Larbi Abid - Avril 2019
Auteur : Perino Luc. Les sciences de la santé étant les plus faciles à corrompre, voici dix points devant susciter la méfiance, lors de la lecture d’un article parlant d’un médicament dans la presse générale.
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Le professeur Rachid BENABADJI a pris sa retraite en juillet 1998. Il avait exercé les fonctions de professeur chef de service de chirurgie générale à la clinique centrale de 1980 à 1986 puis au service de chirurgie générale de l’hôpital Bologhine de 1986 à 1998.
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…j’ai ressenti le devoir de rédiger et d’insérer dans le numéro 8 de la revue « Le journal du Praticien » de l’année 1996, un hommage à notre Maitre, le Pr. Bachir Mentouri qui venait malheureusement de disparaitre après une longue maladie. J’ai quitté la CCA vingt ans auparavant, mais mes souvenirs étaient restés intacts. J’ai relu ce que j’avais écrit alors. Aujourd’hui, je n’aurais pas rajouté ni supprimé une ligne de ce qui me paraissait, à l’époque, la traduction fidèle et sincère de la trajectoire de cet »honnête homme » dans l’acceptation la plus noble du terme.
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Professeur Larbi Abid - Algérie - Juin 2015
Comme il fallait s’y attendre, la publication des résultats des membres sélectionnés pour constituer le noyau fondateur de l’ASTA par un jury international constitué par des académiciens issus d’académies prestigieuses (académies des sciences et de technologies de France, Royal Academy du Royaume Uni, National Academy of Sciences des USA, Deutsche Akademie der Wissenschaften Leopoldina d’Allemagne et la Swedish Academy of Engineering Sciences) a suscité une réaction négative de la part de professeurs de médecine n’ayant pas été retenus par le jury.
Professeur Larbi Abid - Algérie - Décembre 2015
1562 postes de résidanat ont été ouverts pour l’année universitaire 2015/2016 ; Plus de 400 candidats potentiels ont preféré se désister car la ou les spécialités les interessant ayant été prises.; Les principales spécialités choisies en premier, sont dans l’ordre ...
Professeur Larbi Abid - Algérie - Avril 2015
Les algériens ont une perception très pessimiste de l’évolution de leur système de santé. Ils estiment qu’il n’y a pas assez de médecins et que ces derniers sont de plus en plus mal répartis sur le territoire. Selon le ministre de la santé le secteur public compte (en 2015), 40.000 médecins généralistes, 17.000 spécialistes et 120.000 paramédicaux. Même si globalement les indicateurs de santé sont relativement bons, Le pays est cependant confronté à un défi majeur de santé publique lié aux fortes inégalités territoriales en matière de santé des populations et de répartition de l’offre de soins. Il existe, en effet, des zones sous médicalisées dans lesquelles les citoyens éprouvent des difficultés à accéder aux soins dans des conditions de proximité et de délais satisfaisantes.
Professeur Larbi Abid - Algérie - Mai 2014
L’exercice à titre privé des professions de santé a connu un essor considérable depuis la promulgation de la loi 88-15 du 3 mai 1988 modifiant et complétant la loi 85-05 du 16 février 1985 relative à la protection et à la promotion de la santé qui a propulsé l’émergence des établissements de santé privés et a conforté ce secteur par une offre de soins de plus en plus présente sur le plan quantitatif. Des établissements privés existaient : il s’agit d’établissements érigés durant l’ère coloniale, certains intégrés dans la consistance du secteur public. D’autres structures comme les maisons d’accouchement ont été exploitées par des sages-femmes, et ont constitué le patrimoine privé en matière d’établissement de santé. Celles-ci ne disposant pas de bloc opératoire, n’offraient pas toutes les conditions de sécurité pour la prise en charge des accouchées. Elles ont graduellement disparu pour être remplacées par les cliniques médico-chirurgicales dont l’organisation et la mise en fonctionnement étaient déterminées par les dispositions des textes d’application de la loi susmentionnée.
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