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La Tribune | Algérie | 08/01/2008
La mise en place d’un plan d’organisation interne pour la prévention et la gestion des risques radiologiques a été, hier, au centre d’une journée d’étude à Jijel organisée à l’initiative de la Direction générale de la Protection civile (DGPC). Trente officiers des différentes unités de la Protection civile de la wilaya ont participé à ce séminaire encadré et animé par des officiers de la DGPC spécialisés dans les questions de prévention et de gestion des risques radiologiques. La journée d’étude vise la formation continue et le perfectionnement d’agents appelés à faire face à d’éventuels risques émanant de sources radiologiques. Les conférences présentées par les spécialistes de la Protection civile ont été essentiellement axées sur les sources d’irradiation externe, les limites de doses, la surveillance de la radioactivité sur le territoire national, l’inventaire des sources et matières radioactives, les contrôles radiologiques, la protection médicale des travailleurs exposés à des rayonnements ionisants, la dosimétrie du personnel professionnellement exposé et l’évaluation des expositions, le dispositif de protection radiologique et la limite de doses dans des circonstances particulières. - [ Lire l'article ]
La Tribune | Algérie | 08/01/2008
Cri de détresse des malades non-assurés sociaux qui souffrent de diabète ou d’hypertension artérielle. Beaucoup se plaignent des difficultés d’accès aux médicaments nécessaires pour leur traitement faute d’un carnet de gratuité des soins que les services sociaux de leur APC tardent à leur délivrer. «Les médicaments sont disponibles dans les pharmacies mais nous ne pouvons pas les acheter. Ils sont très chers», affirment certains de ces malades non-assurés sociaux, donc n’ouvrant pas droit au remboursement. Pourtant, comme il s’agit de deux maladies chroniques, dont le traitement est assez lourd aussi bien pour le malade que pour l’Etat (lorsqu’il y a surtout des complications), les pouvoirs publics avaient décidé de faire bénéficier gratuitement les malades des médicaments nécessaires, à condition que ces derniers montrent au pharmacien un carnet de gratuité des soins. C’est la Direction de l’action sociale (ADS) qui se charge de la délivrance de ce carnet au niveau de la wilaya. - [ Lire l'article ]
La Tribune | Algérie | 07/01/2008
Après plus de deux ans de travail assidu, le numéro zéro de la revue Maladies orphelines a été enfin lancé. C’est l’Association algérienne du syndrome de Williams et Beuren (AASBW) qui en est l’initiatrice, et ses membres fondateurs, dont le couple Meddad, parents d’un enfant atteint du SWB, et le psychologue Larounina Yazid en ont parlé avec enthousiasme et satisfaction, lors d’une conférence de presse animée à cet effet hier au centre de presse d’El Moudjahid. Syndrome de Cokayne, syndrome du cri de chat, maladie des os de verre, maladie de l’homme de pierre… autant de maladies inconnues et rares qu’on appelle «maladies orphelines». Elles sont au nombre de huit mille, selon l’OMS (Organisation mondiale de la santé), à être très peu connues du grand public autant que des médecins. Et pourtant, en Algérie, comme partout ailleurs, de nombreuses familles restent livrées à elles-mêmes et désorientées face à des symptômes méconnus et à une évolution de ces maladies difficilement maîtrisable. - [ Lire l'article ]
La Tribune | Algérie | 07/01/2008
Pour l’année 2007, l’aréopage médical de la clinique d’urologie de Constantine est unanimement satisfait des progrès accomplis sur le plan strictement professionnel. Il y a de quoi, serions-nous tenté d’affirmer, compte tenu du nombre d’interventions consistant notamment en 15 transplantations rénales «totalement réussies, obligation de résultats et rigueur» obligent, soulignent le professeur Dahdouh, les docteurs Boussouf, Sayoud, Djellouat, Saadi, Menacer et Dabouz, signataires du communiqué adressé aux rédactions locales. Il y a lieu de noter aussi la prise en charge de trois cent dix-huit cancers uro-génitaux par «exploration, histo-diagnostic, traitement médical et suivi», ajoutent-ils. - [ Lire l'article ]
El Moudjahid | Algérie | 09/01/2008
Nouvel éclairage sur les causes de l’hypertension artérielle (HTA). Une équipe INSERM vient de mettre en évidence l’impact d’une baisse de la microcirculation - liée à une diminution de la densité des petits vaisseaux- sur la hausse de la tension artérielle. A terme se profilerait une cible thérapeutique potentielle. C’est en étudiant les effets secondaires connus d’un traitement anti-angiogénique, le bevacizumab, que les auteurs - Unité INSERM 689 de l’hôpital Avicenne à Bobigny - ont fait cette découverte. Pour rappel, les anti-angiogéniques contrôlent la « pousse » des vaisseaux au niveau de la tumeur. En empêchant cette dernière, ils privent la tumeur des apports nutritifs qui lui sont indispensables. - [ Lire l'article ]
El Moudjahid | Algérie | 09/01/2008
Des médecins spécialistes ayant pris part au 16ème congrès d’endocrinologie hier, à Alger ont plaidé pour la dotation des services d’endocrinologie de plateaux techniques performants pour faciliter le diagnostic précoce des maladies métaboliques. L’endocrinologie est une spécialité "très importante qui touche un faisceau large de maladies", a estimé le professeur Mourad Semrouni, chef de service au CPMC, soulignant le "très haut niveau" des endocrinologues algériens. «La formation scientifique dispensée dans les facultés nationales est d’excellent niveau", a-t-il indiqué, déplorant néanmoins l’insuffisance de moyens et de médicaments pour traiter efficacement les malades. - [ Lire l'article ]
El Moudjahid | Algérie | 04/01/2008
Avec ses 500 000 nouveaux cas et plus de 250 000 décès par ans, le cancer du col de l’utérus est le deuxième type de cancer touchant les femmes dans le monde. En Algérie, cette pathologie enregistre environs 1 600 nouveaux cas chaque année et affecte la vie de quatre femmes par jour. Ce bilan pesant a poussé les responsables de la santé en Algérie à pendre une importante décision pour éradiquer le problème à la racine en autorisant la mise en vente sur le marché en début de cette année d’un nouveau traitement préventif du cancer du col de l’utérus. Il s’agit du; ‘‘Gardasil’’, un vaccin anti-papillomavirus qui a prouvé son efficacité à 100% aux Etats-Unies. Ce traitement préventif est destiné à protéger des infections causées par les papillomavirus (HPV) transmis par contacts sexuels et qui peuvent provoquer des lésions précancéreuses de l’appareil génital féminin et des cancers du col de l’utérus. Rappelons que le Gardasil qui est proposé aux jeunes filles âgées entre 12 et 13 ans, a été utilisé dans 53 pays et environ 50 000 femmes à travers le monde ont déjà été vaccinées. Notons que L’Algérie sera le premier pays du Maghreb à intégrer le vaccin anti-papillomavirus dans la liste des vaccinations et ce pour lutter contre cette redoutable maladie. - [ Lire l'article ]
El Moudjahid | Algérie | 08/01/2008
Le Pr Kamel Sanhadji, directeur de recherche à l’hôpital Edouard Herriot de Lyon et professeur à la faculté de médecine, a affirmé, en marge d’une rencontre organisée au forum d’El Moudjahid, que la thérapie génique, déjà vérifiée sur l’espèce animale, a prouvé son efficacité à 100% à vaincre le virus du sida. Un résultat prometteur pour aller de l’avant et l’appliquer chez l’homme. Cette deuxième étape, ajoutera le Pr Sanhadji, verra le jour d’ici 4 à 5 ans. Pour l’orateur, ce virus, qui infecte et perturbe les cellules clés du système immunitaire (les lymphocytes T qui jouent un rôle primordial dans la protection de l’organisme contre des agents infectieux), possède la capacité de muter, c’est ce qui explique l’importance de la recherche sur le VIH. Selon les statistiques de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le sida enregistre annuellement environ 4,3 millions de nouveaux cas. Considéré désormais comme le fléau le plus destructif de l’histoire, le sida tue plus de deux millions de personnes dans le monde. - [ Lire l'article ]
El Moudjahid | Algérie | 07/01/2008
Une note ministérielle portant sur le retrait immédiat du marché algérien d’un médicament et d’une solution dermique a été adressé à toutes les directions de la santé en début de la semaine dernière. Il s’agit de trois lots de «Spasfon», médicament " antispasmodique ", très largement prescrit en cas de troubles intestinaux et des douleurs, en solution injectable de 10 mg et d’un lot d’une solution dermique «Betaderm». Selon la note, les lots de «Spasfon» concernés sont RN 7308 à RN 7501, R7502 à R7870 et P3457 à P3525. Ce médicament provenant des laboratoires Cephalon et Lafon (ancien exploitant du produit) est interdit de commercialisation pour ‘‘une réduction de péremption de 48 mois à 18 mois suite à une non-conformité de résultats observés lors de l’étude de stabilité, susceptible d’entraîner un jaunissement de la solution’’ est-il mentionné dans cette note. Ce retrait a été signalé par l’AFFSAPS, une institution française spécialisée en produits pharmaceutiques et a été décidé par le Laboratoire national de contrôle des produits pharmaceutiques (LNCPP) et la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH) pour des mesures de sécurité. Quant au produit «Betaderm», la décision du retrait du lot N° B74 est justifiée par sa commercialisation «sans analyse préalable par le Laboratoire national de contrôle des produits pharmaceutiques». Cette note a été adressée par les directions de santé à toutes les structures publiques CHU, EHS et les salles de soins ainsi que toutes les structures privées, officines et grossistes. - [ Lire l'article ]
El Moudjahid | Algérie | 06/01/2008
Pour optimiser la qualité de prise en charge des malades atteints des hépatites virales, la CNAS s’est engagée à rembourser à partir de cette année les frais des médicaments et des examens médicaux. Maladie sexuellement transmissible, la plus répandue et la plus meurtrière sur la planète, l’hépatite B affecte 2 milliards d’individus dans le monde. Actuellement, on estime qu’environ 350 millions de personnes atteintes d’hépatite B chronique. Cette maladie, qui est à l’origine de 2 millions de décès par an, représente la deuxième cause de cancer après le tabac. Ces chiffres effrayants peuvent être évités par la vaccination systématique des nouveau-nés. 116 pays dont l’Algérie, la Tunisie, le Maroc et la France ont intégré sur la liste des vaccinations le vaccin contre l’hépatite B, ce dernier reste malheureusement hors de portée des pays pauvres où le virus est le plus présent. Un autre virus inquiète encore plus les autorités de santé, c’est l’hépatite C, une maladie qui évolue de façon silencieuse et insidieuse pendant des années avant de s’exprimer sous forme de cirrhose ou de cancer du foie. Selon les estimations de l’OMS, 3% de la population mondiale serait infectée par ce virus. - [ Lire l'article ]
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