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Proposé par Larbi Abid - Avril 2019
Auteur : Perino Luc. Les sciences de la santé étant les plus faciles à corrompre, voici dix points devant susciter la méfiance, lors de la lecture d’un article parlant d’un médicament dans la presse générale.
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Né le 30 juillet 1945, Abdelhamid Aberkane a débuté ses études de médecine en 1962, à l’âge de 17 ans après l’obtention du deuxième baccalauréat avec mention assez bien (1ère partie du bac au Lycée d’Aumale de Constantine en 1961, 2ème partie au Lycée Albertini de Sétif en 1962). Après l’obtention de son baccalauréat, il arrive à Alger où il entame sa médecine qu’il achève en juin 1968 par le passage des examens « cliniques » qui marquaient, à cette époque, la fin des six années de formation en médecine et la réussite en décembre 1967 au concours d’Internat des hôpitaux d’Alger.
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…j’ai ressenti le devoir de rédiger et d’insérer dans le numéro 8 de la revue « Le journal du Praticien » de l’année 1996, un hommage à notre Maitre, le Pr. Bachir Mentouri qui venait malheureusement de disparaitre après une longue maladie. J’ai quitté la CCA vingt ans auparavant, mais mes souvenirs étaient restés intacts. J’ai relu ce que j’avais écrit alors. Aujourd’hui, je n’aurais pas rajouté ni supprimé une ligne de ce qui me paraissait, à l’époque, la traduction fidèle et sincère de la trajectoire de cet »honnête homme » dans l’acceptation la plus noble du terme.
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Proposé par Larbi Abid - Algérie - Mai 2017
Auteur : Docteur Saddek Jean Masseboeuf - Voici bientôt cinq ans que j’ai entrepris la rédaction de ces « Témoignages ». Dans l’introduction, je fais part de mes refus répétés (pourquoi intervenir au-delà de l’Action ?), puis de mes réticences, et finalement de mon acquiescement à relater ce que j’ai vu, appris et vécu au cours de la Guerre de Libération. J’indique plus loin les raisons de ma décision. C’était, à mes yeux, apporter ma contribution militante à l’élaboration d’une grande fresque historique que d’autres, historiens, sociologues, archivistes qualifiés, auront à charge de composer.
Proposé par Larbi Abid - Algérie - Février 2017
Auteur : Farouk Zahi - Il n'est jamais agréable pour un ancien commis de l'Etat de mettre à l'index, un service public qu'il a servi la moitié de sa vie durant. Et ce n'est pas faire preuve de félonie lorsque on met à nu, les scories qui le rongent, non pas par manque de moyens, loin s'en faut, mais par l'inconséquence de la personne humaine qu'elle soit de maitrise ou d'exécution. Fierté nationale, jadis, il se prévalait du tryptique et le mot n'est pas fort : globalité, intégration et gratuité.
Proposé par Larbi Abid - Algérie - Novembre 2016
La mortalité maternelle est un indicateur de la confluence et de la sommation des inégalités sociales qui intéressent la femme. Ils concourent à la transformation d’un événement naturel et heureux en un drame, personnel en premier lieu, puis social par ses répercussions périnatales et familiales. L’amélioration de l’état de santé de la femme en âge de procréation est tributaire de plusieurs OMD et particulièrement ceux qui ont un impact démographique. La mortalité maternelle est très intimement corrélée à la pauvreté, le graphe suivant le démontre sans ambiguïté et permet d’identifier les régions les plus défavorisées (fig1).
Proposé par Larbi Abid - Algérie - Novembre 2016
Auteur : Dr. Mahmoud El Salah Khaznadar - Le grade de professeur en médecine a, en tout lieu et en tout temps, toujours forcé le respect au sein des divers pans d'une société, du plus petit des gouvernés au plus grand des gouvernants. La fonction de chef de service hospitalo-universitaire a toujours joui d'une aura spécifique et particulière lui conférant une reconnaissance de pouvoir éclairé et utile.
Proposé par Larbi Abid - Algérie - Juillet 2016
Les évènements qui agitent depuis au moins 3 ans le milieu hospitalo-universitaire sont très inquiétants et doivent nous interpeller. J'ai démissionné de mon poste de professeur chef de service hospitalo-universitaire en janvier 1993. Je ne devrais donc pas me sentir concerné par ce débat houleux, largement étalé dans la presse, qui s'est malheureusement imposé entre jeunes loups et « veille garde » hospitalo-universitaire. Pourtant, à la lecture des différentes contributions et articles, diffusées dans la presse nationale, en particulier à celles récentes de M. Regabi, professeur et ancien doyen de la faculté de médecine, je n'ai pu résister à l'appel de ma conscience d'ancien professeur de médecine et m'estimer non concerné.
Proposé par Larbi Abid - Algérie - Janvier 2016
Deuxième marché pharmaceutique sur le continent africain après l’Afrique du Sud, avec des ventes annuelles totalisant 3 milliards de dollars, l’Algérie, qui détient des réserves d’hydrocarbures considérables, est particulièrement attrayante pour les groupes pharmaceutiques internationaux.
Professeur Larbi Abid - Algérie - Janvier 2016
Le cancer colorectal (CCR) arrive en 2ème position par ordre de fréquence, après le cancer du sein chez la femme et le cancer du poumon chez l’homme. Le cancer colorectal est encore diagnostiqué à un stade tardif ; tous les thérapeutes qu’ils soient gastro-entérologues, chirurgiens, radiothérapeutes ou oncologues médicaux sont d’accord sur ce constat.
Proposé par Larbi Abid - Algérie - Décembre 2016
Auteur : Dr. Mahmoud El Salah Khaznadar - Cette question ne peut être plus d'actualité qu'elle ne l'est aujourd'hui pour plusieurs raisons dont trois essentielles. En premier lieu la crise économique liée à la chute du prix des hydrocarbures. Ensuite la probable adoption dans un proche avenir de la nouvelle loi sanitaire, projet entamé il y a plus de deux ans, en période de quiétude économique, revu et modifié maintes fois après examen en Conseil des ministres. Enfin, la mondialisation, le contexte international tant socio-économique que culturel et sécuritaire qui placent la lutte contre les inégalités dans le lot des défis majeurs, font que la réforme réelle du système de soins devient une urgence à caractère crucial, voire vital.
Professeur Larbi Abid - Algérie - Avril 2016
Le nombre de postes de résidanat ouverts dans les différentes spécialités se fait par arrêté du MESRS (après concertation préalable avec le MSPRH pour l’évaluation des besoins). Cet arrêté fixe le nombre de postes ouverts (par discipline) aux épreuves classantes du concours d’accès au résidanat. C’est ainsi que pour l’année universitaire en cours (2015/2016), 1562 postes ont été ouverts à la faculté de médecin d’Alger. Les lauréats de sexe féminin étaient au nombre de 1031 (66%) et ceux de sexe masculin de 531 (34%). 404 candidats (306 femmes et 101 hommes) se sont désistés, laissant ainsi vacants 26 % des postes ouverts. Seuls 1101 candidats (725 de sexe féminin 63% et 430 de sexe masculin 37%) ont donc pris un poste lors du choix.
Professeur Larbi Abid - Algérie - Juin 2015
La formation en résidence de médecine dite aussi formation médicale postdoctorale est l'étape finale de l'enseignement médical avant l’obtention du diplôme d’études médicales spécialisé en sciences de la santé (DEMS). La formation médicale postdoctorale a pour objet le développement et le perfectionnement des compétences du médecin résident afin de lui permettre d'exercer une spécialité médicale en milieu hospitalier. En Algérie, les programmes de formation médicale postdoctorale durent entre quatre et cinq ans.
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