← Accueil Santemaghreb.com
Accès aux sites pays
ALGERIE
MAROC
TUNISIE
Responsable éditorial :
Professeur Larbi Abid
Des médecins cubains en Algérie
Note du 14/11/2019 17:46:32.
Le 1er Prix « Tedjini Haddam » décerné au Pr Jean-Paul Grangaud
Note du 05/11/2019 11:03:27.
Ouverture des inscriptions au Certificat de sur-spécialisation en hépatologie, gastro-entérologie et nutrition pédiatrique
Note du 30/07/2019 16:07:29.
> Consulter tous les programmes
> Consulter toute la documentation
Je connais Bekada Hadj Benmhel depuis bientôt cinquante ans ! En fait je le connaissais indirectement, son environnement et lui-même, avant de le voir et de l’apprécier pour lui-même, dès le début, dans les années soixante. Ayant une de mes sœurs et son mari dans l’enseignement à Annaba, j’entendais déjà parler avec beaucoup de respect de son frère ainé, cadre de l’éducation algérienne. Puis ce fut à la cité universitaire de Ben-Aknoun que l’on ma parlé de Mazouna, son lieu de naissance.
> Consulter toutes les biographies
L'intendant civil Genty de Bussy, qui avait la responsabilité de l'hygiène et de la santé dans la Régence, signa, le 12 septembre 1832, un décret instituant à Alger un jury de médecine appelé à examiner et à recevoir les candidats français et étrangers aspirant à devenir pharmaciens. Ce jury, composé d'un médecin, d'un chirurgien et de trois pharmaciens militaires, pouvait délivrer un diplôme de pharmacien permettant d'exercer la pharmacie dans la Régence d'Alger.
Il y a actuellement 18511 articles disponibles dans la Revue de presse
Radio Algérie | Algérie | 17/03/2025 | Lire l'article original
Avec un taux de 34%, les maladies cardiovasculaires sont désormais la première cause mortelle en Algérie, selon les derniers chiffres publiés dans le dernier rapport de l’Institut national de la santé publique. Le professeur Djamel Eddine Nibouche est revenu, ce lundi, sur la prise en charge des facteurs de risque de la maladie et la nécessité d’y lutter contre toutes les formes de ces pathologies.
Mais l’urgence cruciale, selon le cardiologue, est « la création impérative d’un Observatoire algérien des maladies. »
« Il faut un observatoire des maladies en Algérie», insisté-t-il à l’émission « L’Invité du jour », de la chaine 3, de la Radio Algérienne, soulignant que « le rôle de l’Institut national de la santé publique est de faire des études et des états des lieux annuels, voire des états mensuels, pour qu’on puisse avoir le thermomètre exacte de toutes les maladies morbides, en Algérie, pouvant évidemment augmenter le taux de mortalité national ».
Et d’alerter que le taux important susmentionné fait des maladies cardiovasculaires une maladie qui interpelle les pouvoir publics, au même titre que le cancer, quant à sa prise en charge.
L’Urgence, selon le professeur Nibouche, est « de s’attaquer aux facteurs de risque de ces maladies morbides », citant le tabagisme, l’obésité chez l'enfant et la consommation de la drogues, entre autres qui s’étendent, de plus en plus parmi la tranche d’âge des jeunes.
Cependant, enjoint-il, « l’approche pour pouvoir résoudre le problème et trouver une solution globale est très complexe, demandant beaucoup de temps et suggère nécessairement l’intervention de plusieurs départements ministériels, dont l’Etat, la société civile, les collectivités, de la prévention individuelle et la sensibilisation de l’enfance à l’école ».
Adresse
Téléphone
Contactez-nous
Site éditeur :