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Responsable éditorial :
Professeur Larbi Abid
Des médecins cubains en Algérie
Note du 14/11/2019 17:46:32.
Le 1er Prix « Tedjini Haddam » décerné au Pr Jean-Paul Grangaud
Note du 05/11/2019 11:03:27.
Ouverture des inscriptions au Certificat de sur-spécialisation en hépatologie, gastro-entérologie et nutrition pédiatrique
Note du 30/07/2019 16:07:29.
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Le martyr, BENZERDJEB Benaouda naquit le 9 janvier 1921 à Tlemcen où il grandit dans un milieu populaire modeste. Il fit ses études au collège Ibn Khaldoun et obtint le diplôme du baccalauréat en 1941, ainsi que le premier prix de langue allemande. Ses idées nationalistes, contribuèrent à la formation, chez lui, d'un sens politique qui le poussa à s'engager dans les rangs du Mouvement pour le Triomphe des Libertés Démocratiques (MTLD).
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La lutte anticancéreuse en Algérie débuta sous l’occupation française. C’est en 1928 qu’intervient la création de principe du centre anticancéreux d’Alger, suivant de peu la réalisation des centres de Bordeaux, Paris et Lyon en 1923 ; De Montpellier, Strasbourg, Lille Rennes, Reims, Caen et Toulouse en 1924 ; de Marseille et Angers en 1925 ; et de Nancy en 1927. Le centre anticancéreux d’Alger était installé par le professeur Constantini dans les locaux de la clinique A de l’hôpital Mustapha. Ce centre, s’il avait le mérite de constituer le premier maillon dans la chaîne de la lutte anticancéreuse en Algérie ne pouvait prétendre à assumer ni le dépistage, ni le traitement de tous les cancers observés. Néanmoins le départ était ainsi donné et une consultation anticancéreuse fut instituée par les docteurs Laffont, Ferrari, Viallet et Duboucher.
Proposé par Larbi Abid - Avril 2019
Auteur : Perino Luc. Les sciences de la santé étant les plus faciles à corrompre, voici dix points devant susciter la méfiance, lors de la lecture d’un article parlant d’un médicament dans la presse générale.
Proposé par Larbi Abid - Février 2019
Auteur : Karim Amri (Directeur d'hôpital). Le plan santé « Ma santé 2022 », dont la communication a été effectuée en septembre 2018, coïncide avec la publication annuelle sur les dépenses de santé en 2017 de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques du ministère de la Santé (1). Ainsi, et alors même que le budget de la sécurité sociale affiche un redressement spectaculaire, la question de la santé et notamment des hôpitaux connaît quant à elle une situation délicate ayant débouché sur des mesures sérieuses de profonde transformation. Ce nouveau plan santé se veut ainsi s’inscrire comme une réponse à la hauteur des enjeux des professionnels et des usagers du service public hospitalier...
Proposé par Larbi Abid - Février 2019
Auteur : Dr Abdelhak Bendib (Epidémiologiste). En dehors des déclarations protocolaires du directeur de la Formation du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière et du directeur général de Sanofi Algérie, aucune autre information sur et autour de cette convention n’a été donnée. Le contexte politique actuel chargé d’incertitudes qui monopolise l’attention a contribué sans aucun doute à la rendre presque inaperçue. Pourtant, c’est en partie l’avenir de la santé qui est engagé à travers un secteur stratégique qu’est celui de la formation continue.
Proposé par Larbi Abid - Janvier 2019
Auteur : Dr M’hamed Lakrimi. Dans la vie, tout évolue, et les systèmes de santé doivent aussi être améliorés aussi souvent que nécessaire. Avant de parler de la santé, il est important de mentionner deux aspects clés. Il y a d’abord la numérisation dont l’importance est de rigueur pour réaliser un système de santé digne de l’ère digitale et la bonne gouvernance. Cet article est écrit dans un cadre scientifique pour provoquer et stimuler des réflexions pour placer le malade au centre des discussions, surtout dans les hôpitaux publics.
Proposé par Larbi Abid - Novembre 2018
Auteur : Mourad Abid
Les derniers évènements concernant les élections du prochain bureau de la SAC nous ont privé du véritable débat. A la veille des élections nous ne savons toujours pas qui postule, pour quel poste et pour quel programme ?
Proposé par Larbi Abid - Octobre 2018
Le service civil, auquel est astreint le médecin spécialiste en fin de cycle et ayant validé son résidanat après un examen de fin de cursus dit de première post-graduation, est considéré comme un devoir national pour pallier, un tant soi peu, le désert médical dans les régions du Sud et des Hauts-Plateaux, rendues peu attractives par leur niveau de développement.
Proposé par Larbi Abid - Février 2018
Monsieur le ministre de la santé, On est honoré par votre ouverture au dialogue avec nous, en tant que représentants dument élus de plus de 10000 résidents en sciences médicales, à travers le territoire national, notre vision des choses est basée sur un vécu réel et une volonté sans égale quand au vouloir de l’optimisation de la dynamique dans le secteur de la santé. Ce secteur qui nous est cher, car nous permet d’exercer le plus noble des métiers, celui d’être à l’écoute des autres, celui d’apporter aide et soins aux autres, celui d’être médecin. Notre détermination à apporter par notre expertise des soins de qualité ne peut qu’être corrélée à une formation d’excellence, et à des moyens et conditions socioprofessionnelles à la hauteur de nos efforts et espérances...
Proposé par Larbi Abid - Janvier 2018
Auteur : Professeur Mohamed Ouchtati (Chef de service anesthésie-réanimation chirurgicale, CHU de Constantine).
La crise des hôpitaux est la conséquence d’un investissement parcimonieux dans le secteur de la santé qui dure depuis deux décennies. Ce n’est qu’en 2005 que les dépenses de santé ont atteint 100 dollars par habitant. En 2017, elles sont estimées à 478 dollars par habitant, équivalentes à celles de l’Irak et de la Bosnie et largement inférieures à celles des pays de la rive occidentale de la Méditerranée, où elles sont supérieures à 5000 dollars par habitant. La qualité de la santé en Algérie est obligatoirement du niveau de l’investissement.
Proposé par Larbi Abid - Septembre 2017
Auteur : Professeur Omar Zemirli - C’est sous la présidence du ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et la modération du secrétaire général du même ministère que les travaux de la Conférence nationale des universités ont débuté dans l'auditorium bien climatisé de la nouvelle faculté mixte de médecine à l'abri de la chaleur torride en cette fin du mois de juillet de cet été 2017. Tous les moyens et savoir-faire ont été mis à la disposition des très nombreux participants, cadres du ministère, recteurs d'université, doyens de facultés de médecine et collaborateurs, présidents des CPNS (Comités Pédagogiques Nationaux de Spécialité), professeurs de médecine toutes spécialités et promotions confondues, tous acteurs indispensables pour la réussite de ladite conférence. Sauf que certaines personnes ressources qui avaient, par le passé, participé et contribué activement à la formation de générations d'hospitalo-universitaires manquaient à l'appel. Cette période estivale serait sans doute l'une des causes de la défection, de même que la capacité de l’auditorium ne pouvait que limiter le nombre de participants.
Professeur Larbi Abid - Mai 2017
Une réunion a regroupé le 21 mai 2017 les enseignants de la faculté de médecine d’Alger avec les doyens des différentes facultés de médecine d’Algérie, au niveau de l’auditorium de la faculté de médecine d’Alger. A l’ordre du jour : la Refonte de la formation médicale de graduation.
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