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Professeur Larbi Abid
Des médecins cubains en Algérie
Note du 14/11/2019 17:46:32.
Le 1er Prix « Tedjini Haddam » décerné au Pr Jean-Paul Grangaud
Note du 05/11/2019 11:03:27.
Ouverture des inscriptions au Certificat de sur-spécialisation en hépatologie, gastro-entérologie et nutrition pédiatrique
Note du 30/07/2019 16:07:29.
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Né le 5 septembre 1925 à Tlemcen, le professeur M. BENABADJI a obtenu le diplôme de docteur en médecine en 1952 à la faculté de médecine de Montpellier. En 1962 il fait son entré dans le secteur public où il est nommé le 8 novembre 1962 médecin-chef du Centre de Transfusion Sanguine (CTS) du CHU Mustapha d'Alger. Ce CTS fut érigé en janvier 1963 en Centre Algérien de Transfusion Sanguine.
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Tous les secteurs de la vie économique, sociale, culturelle sont affectés. Le secteur de la santé ne fait pas exception. Médecins, professeurs d’Universités, personnels paramédicaux en majorité français quittent le pays. Les structures hospitalières publiques ou privées, la faculté de médecine, sont complètement désorganisés. De plus, nombreux bâtiments de soins ont été détruits par l’OAS* parfois avec la complicité de médecins. C’est le cas du service de neurochirurgie, installé à la «clinique Barbier Hugo». Le neurochirurgien et son équipe quittent les lieux après démolition par plastiquage des blocs opératoires. Il ne reste que quelques lits qui seront transportés à l’hôpital Ali Ait Idir : ils équiperont et pour longtemps le service de réanimation du nouveau service de neurochirurgie.
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El Watan | Algérie | 21/10/2024 | Lire l'article original
Le 9e Congrès international de la Société algérienne d’urodynamique et de pelvipérinéologie (Salud-PP) s’est clôturé samedi. Tenue sur 2 jours (18 et 19 octobre), l’objectif de cette neuvième édition est non seulement de faire un focus sur les atteintes neurologiques et médullaires mais aussi de rompre avec l’errance thérapeutique des patients, en leur offrant une organisation médicale et paramédicale adaptée, ainsi qu’un protocole thérapeutique coordonné.
« Le 9e Congrès vient après une absence de 5 ans due à la Covid-19. Et l’objectif premier était de redémarrer la Société dans un premier temps. Et le second objectif est de toucher à plusieurs sujets. A titre d’exemple, le reflux chez l’enfant ou encore l’oncologie en urologie », affirme le Pr Cherrid.
Si de nombreuses thématiques ont été abordées lors de ce congrès, telles que l’onco-urologie, les symptômes d’alerte liés aux troubles de l’appareil urinaire inférieur, les infections urinaires, le Pr Cherrid explique que l’incontinence chez la femme fait aussi partie des thèmes qu’il fallait aborder. « Malheureusement, la femme qui en souffre a honte. Elle pense que c’est une fatalité. Or, il y a la possibilité de la prendre en charge », assure-t-il.
Autre thématique importante : les complications sur les reins chez l’enfant non pris en charge tôt. Selon le spécialiste, nous avons toujours tendance à dire et penser que tant que l’enfant est jeune, il n’est pas urgent de traiter ce souci médical. « Délaisser et négliger cela peut entraîner des complications sur son appareil urinaire », a-t-il prévenu. « Nous avons aussi profité de cette 9e édition pour lancer une formation d’urodynamique-pelvipérinéologie, destinée aux médecins spécialistes. Celle-ci va s’étaler sur une année », a-t-il indiqué.
De son côté, le Pr Abderrezak Dahdouh, président de la Salud-PP, a tenu à assurer que l’urologie va de mieux en mieux grâce à des urologues plus nombreux. « A l’époque, il n'y avait qu’un service à Alger. Ensuite, un deuxième à Oran. Et il a fallu beaucoup de temps pour ouvrir d’autres services, à savoir à Constantine, Annaba, Sétif, Batna, Mostaganem, Sidi Bel Abbès, Tlemcen », se souvient-il. « Aujourd’hui, nous sommes 700 urologues, entre privé et public. Malgré tout, on estime qu’il y a un manque en raison du vieillissement de la population.»
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