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En juillet 1881, la Vigie Algérienne reproduisait une lettre adressée par le médecin major Sedan au docteur Armaignac, directeur de la Revue Clinique d'Oculistique de Bordeaux, de laquelle j'extrais les passages suivants : « L'Algérie restera longtemps la terre classique de l'ophtalmie... L'Ecole de Médecine d'Alger n'a ni clinique d'ophtalmologie, ni cours spécial. Il est à craindre que la clinique ophtalmologique d'Algérie soit longtemps encore à l'état de désir, chez ceux qui en reconnaissent le plus la nécessité ».
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Horizons | Algérie | 08/07/2024 | Lire l'article original
La transplantation hépatique nécessite du don d’organes ainsi que la mise en place d’un plan national pour assurer une prise en charge adéquate aux patients.
La centralisation des traitements, la formation de chirurgiens spécialisés en transplantation hépatique, une prise en charge psychologique des patients, la numérisation et le recensement des personnes en attente de greffe sont les principales recommandations de la présidente de l’Association nationale d’aide aux malades transplantés hépatiques (Anath), Mme Zahia Bekka.
Mme Zahia Bekka ne cesse de réitérer son appel pour la mise en place d’un plan national de transplantation hépatique pour assurer une prise en charge adéquate des patients souffrant en silence. Celui-ci contribuera à développer la transplantation hépatique en Algérie et à réduire les prix d’une intervention qui, à l’étranger, coûte parfois 1,5 milliard de centimes. Elle insiste aussi sur le suivi des patients après une greffe à l’étranger pour éviter le rejet de l’organe greffé et les déplacements inter-wilayas compte tenu de la sensibilité de leur état de santé et de leur système immunitaire affaibli.
Dans le même ordre d’idées, Mme Bekka propose la mise en place de quatre centres de référence pour la prise en charge des patients greffés en Algérie afin de soulager la pression sur le seul service disponible à Alger. Pour elle, la formation de chirurgiens spécialisés en transplantation hépatique et d’une équipe complète de médecins spécialisés en gastro-entérologie, réanimation et paramédicaux est une urgence.
« La dernière greffe réalisée à partir d’un donneur décédé date de 2009. Les raisons de l’arrêt des greffes hépatiques sont attribuées à l’absence de chirurgiens formés en transplantation hépatique ainsi qu’à l’absence de services spécialisés en transplantation hépatique respectant les normes internationales, surtout en raison de l’immunodéficience des patients hépatiques qui sont facilement sujets aux infections », explique-t-elle.
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