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Le docteur Abdelkader Abid est né à 1950 à Ain Témouchent dans une famille de commerçants aisés et lettrés. Ce n’est pas un hasard s’il fut prénommé en l’honneur de l’émir Abdelkader symbole de la résistance algérienne dans cette famille révolutionnaire de l’ouest.
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…j’ai ressenti le devoir de rédiger et d’insérer dans le numéro 8 de la revue « Le journal du Praticien » de l’année 1996, un hommage à notre Maitre, le Pr. Bachir Mentouri qui venait malheureusement de disparaitre après une longue maladie. J’ai quitté la CCA vingt ans auparavant, mais mes souvenirs étaient restés intacts. J’ai relu ce que j’avais écrit alors. Aujourd’hui, je n’aurais pas rajouté ni supprimé une ligne de ce qui me paraissait, à l’époque, la traduction fidèle et sincère de la trajectoire de cet »honnête homme » dans l’acceptation la plus noble du terme.
Accueil > Santé Maghreb en Algérie > Histoire de l'Algérie médicale : les hommes et les femmes
Par son fils le docteur Mahmoud AROUA, Président de la Société Algérienne d'Histoire de la Médecine
Le docteur Ahmed AROUA est né le 11 mai 1926 à M'doukal, Hodna (wilaya de Batna). Il doit sa formation arabe et islamique essentiellement à son père Mohamed Esseddik, lui-même formé à l'université islamique Zitouna de Tunis. Il fit ses études de médecine à la faculté de Montpellier où il soutint sa thèse de doctorat en médecine en octobre 1955.
Rentré à Alger, il ouvre un cabinet médical et ne tarde pas à s'intégrer au collectif des médecins de l'organisation politique du FLN. Il est arrêté en février 1957 et c'est dans différents camps et surtout à Bossuet, qu'il écrit de nombreux poèmes en arabe et en français parmi lesquels des chants nationaux. Après l'indépendance, il a continué ses activités médicales. En 1971, il s'intègre dans le secteur de la santé publique. En 1981, il obtient son doctorat en sciences médicales et devient professeur en médecine sociale.
Il a occupé des postes de responsabilité au Ministère de la Santé, à l'Institut National de Santé Publique et au CHU Mustapha. En 1989, il est nommé recteur de l'université des sciences islamiques de Constantine, poste qu'il assume jusqu'au 27 février 1992, date de son décès. En plus de ses fonctions officielles, il a participé à de nombreuses manifestations scientifiques, culturelles et sociales. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages de médecine préventive, d'histoire de la médecine et d'islamologie.
Le docteur AROUA a été membre fondateur et 1er vice-président de la Société Algérienne d'Histoire de la Médecine en 1979. Parmi ses écrits sur l'histoire de la médecine, un ouvrage intitulé "Hygiène et Prévention chez Ibn Sina" (ed. SNED, Alger, 1979) et de nombreux articles et communications dont :
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