Selon le même communiqué, les deux cas ont été pris en charge immédiatement en collaboration avec des médecins privés et de la santé publique et leur état est stable.

Le ministère a indiqué, dans le même communiqué, que la Tunisie n’a enregistré aucun cas de paludisme depuis 1979, à l’exception des cas enregistrés chez des personnes venant des pays de l’Afrique subsaharienne.

Le ministère de la Santé procure un traitement préventif chimique gratuit aux voyageurs, dont le personnel des compagnies aériennes.

De son côté, Tunisair a affirmé dans un communiqué publié hier qu’aucun membre de ses équipages en provenance de l’Afrique n’a eu à souffrir de maladie grave ou d’une grave infection à un stade avancé, contrairement aux informations rapportées par un site électronique.

Selon le communiqué, les cas de paludisme signalés concernent trois hôtesses ayant opéré sur Ouagadougou et Abidjan. Ces hôtesses ont été prises en charge par le centre médical de Tunisair et hospitalisées dans les services spécialisés.

Une d’entre elles a quitté l’hôpital et l’état de santé des deux autres s’améliore sans présenter aucun danger à signaler, indique-t-on de même source.