Il a fait savoir que le nombre de personnes qui décèdent chaque année et dont les organes peuvent être exploités dans des opérations de greffes s’élève à 600. 10% seulement de ces organes sont prélevés sur le corps de personnes décédées. Le ministre a appelé les hommes de la religion, les médias et toutes les composantes de la société civile à renforcer la sensibilisation à l’importance de la transplantation d’organes.

Il a, en outre, souligné que la greffe de poumons reste le seul traitement possible pour un grand nombre de malades souffrant d’insuffisance respiratoire chronique.

Par ailleurs, M. Mekki a indiqué que l’infrastructure de l’hôpital Abderrahmane Mami a été renforcée par la construction et l’extension de nouveaux services comme le service de cardiologie et le service de chirurgie cardio-vasculaire et thoracique, en plus de la réalisation de deux nouveaux laboratoires d’analyses biologiques, l’extension du service de radiologie et l’entrée bientôt en service du centre de traitement des maladies cancéreuses.