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Le temps | Tunisie | 16/06/2012
Cependant, nous sommes loin d’accepter de nouvelles demandes pour le lancement d’une APC même en présence de dossiers remplissant toutes les conditions nécessaires pour ce faire », selon le ministre refuser ces dossiers pour l’heure, est une affaire indiscutable vu les conditions socio-économiques du pays.
Le ministre a aussi expliqué qu’il s’agit plutôt d’une autorisation donnée par le ministère concerné aux professeurs et aux agrégés exerçant dans le secteur public afin de leur permettre d’avoir une activité une activité privée complémentaire dans des cabinets ou des cliniques privées selon un quota hebdomadaire bien déterminé. « Comme c’est devenu connu, plusieurs dépassements ont été enregistrées à savoir le quota largement dépassé par quelques médecins qui contreviennent aux règles en vigueur. Sans oublier que l’APC se pratique aussi par des médecins non-autorisés à le faire, chose qui constitue une forme de concurrence déloyale et déshonore le secteur de la santé. Cela porte préjudice également aux hospitalo-universitaires ayant pratiqué pendant cinq ans dans le secteur public et souhaitant avoir une activité privée complémentaire », renchérit Abdellatif Makki. Selon lui, ces dépassements ne passeront pas inaperçus. « Tous les dépassements seront sanctionnés dans les plus brefs délais. L’APC sera pratiquée selon des règles bien définies et sous le contrôle du ministère de tutelle »
Concernant l’affaire de la sécurité des médecins lors de l’exercice de leur métier le ministre était affirmatif « Beaucoup de médecins ont été agressés physiquement lors de l’exercice de leurs fonctions dans les différents établissements de santé au cours de la période allant de mars 2011 à mai 2012, pour cela et vu la gravité de telles actions, le ministère a proposé de créer le poste de directeur de sécurité au sein de chaque établissement hospitalier qui va gérer un corps d’agents de sécurité formés ».
S.M
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