Elle a précisé que la décision d'observer cette grève a été prise suite au blocage des négociations avec le ministère de la Santé qui a mis, a-t-elle dit, des conditions préétablies pour entamer des négociations au sujet des revendications des médecins hospitalo-universitaires.

Mme Habiba Mizouni a fait savoir que ces revendications sont axées sur la nécessité de trouver des solutions urgentes pour améliorer les conditions de travail et promouvoir la qualité de soins dans les hôpitaux publics et en particulier dans les centres hospitalo-universitaires. Elle fait part de l'attachement à l'hôpital universitaire, seul garant de la qualité des prestations de santé et de la formation des médecins Tunisiens.