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Professeur Larbi Abid
Responsable éditorial :
Professeur Larbi Abid


Bloc notes

Des médecins cubains en Algérie
Note du 14/11/2019 17:46:32.

Le 1er Prix « Tedjini Haddam » décerné au Pr Jean-Paul Grangaud
Note du 05/11/2019 11:03:27.

Ouverture des inscriptions au Certificat de sur-spécialisation en hépatologie, gastro-entérologie et nutrition pédiatrique
Note du 30/07/2019 16:07:29.

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Histoire de l'Algérie médicale

Les hommes et les femmes


ABID Abdelkader (1950-2016)

Dr. Abid AbdelkaderLe docteur Abdelkader Abid est né à 1950 à Ain Témouchent dans une famille de commerçants aisés et lettrés. Ce n’est pas un hasard s’il fut prénommé en l’honneur de l’émir Abdelkader symbole de la résistance algérienne dans cette famille révolutionnaire de l’ouest.

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Naissance de la médecine algérienne

Commémoration du XXème anniversaire de la disparition du Pr. Bachir Mentouri

…j’ai ressenti le devoir de rédiger et d’insérer dans le numéro 8 de la revue « Le journal du Praticien » de l’année 1996, un hommage à notre Maitre, le Pr. Bachir Mentouri qui venait malheureusement de disparaitre après une longue maladie. J’ai quitté la CCA vingt ans auparavant, mais mes souvenirs étaient restés intacts. J’ai relu ce que j’avais écrit alors. Aujourd’hui, je n’aurais pas rajouté ni supprimé une ligne de ce qui me paraissait, à l’époque, la traduction fidèle et sincère de la trajectoire de cet »honnête homme » dans l’acceptation la plus noble du terme.

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Point de vue


Réflexions sur le choix des postes de résidanat à la faculté de médecine d’Alger - Année 2015/2016

Professeur Larbi Abid - Algérie - Décembre 2015

Ces résidents de 1ère année (tronc commun) effectuent leur première année dans un service de chirurgie générale. Comme le résidanat de chirurgie générale est géré par le CPRS Centre de chirurgie générale, les résidents des facultés de médecine d’Alger, Blida, et Tizi Ouzou forment un pool commun et peuvent choisir (selon leur classement) n’importe quel terrain de stage dépendant de l’une de ces 3 facultés. Ainsi on se retrouve, en comptant les résidents de ces 3 facultés (nouveaux résidents et doublants de l’année passée) avec un chiffre de 16/18 résidents de 1ère année dans chaque service de chirurgie générale.

Comme chaque service de chirurgie générale prend en charge également 6 à 8 résidents seniors (4ème et 5ème année), on se retrouve avec environ 25 résidents par service. Est-ce que les objectifs de formation tant pratique que théorique peuvent être atteints avec ce nombre pléthorique ?

A chaque fin d’année, la faculté de médecine demande aux différents chefs de service, le nombre de résidents de 1ère année qu’ils peuvent prendre en charge et cela avant l’ouverture du concours de résidanat. Je pense que pour chacun de nous, vu les besoins en spécialistes dans le pays, situe ses capacités de formation entre 8 et 10 résidents. Et pourtant c’est le double qu’on reçoit. La raison de ce doublement est simple : pour le chef de service de chirurgie générale, il n’y a pas de différence entre les résidents de chirurgie de 1ère année (même si par la suite chacun d’entre eux va opter pour la spécialité qu’il a choisie), mais pour les responsables de la faculté c’est le nombre d’ouverture de postes dans la spécialité chirurgie générale (vu que la question est également posée aux autres chefs de service des spécialités chirurgicales). Ne devrait-on pas impliquer les présidents de CPRS des différentes spécialités chirurgicales pour l’évaluation du nombre de postes à ouvrir ?

Si les 4 spécialités dites de base (Médecine interne, chirurgie générale, pédiatrie et gynéco-obstétrique) figurent parmi les 6 spécialités ayant le plus grand nombre de postes ouverts et pris, on constate que le nombre de postes en gynéco-obstétrique est relativement faible (67) vu les besoins élevés à travers le pays (d’ailleurs le nombre très faible de postes au service de gynéco-obstétrique du CHU d’Hussein Dey, 5 postes seulement alors qu’il s’agit du plus grand service d’Alger est étonnant). Concernant le cursus de formation de ces résidents et vus les problèmes auxquels sont confrontés les jeunes gynécologues obstétriciens durant leur exercice dans les différents hôpitaux à travers le pays, le tronc commun de chirurgie générale leur serait très bénéfique.

2 spécialités sont venues s’intercaler dans ce classement :

Nombre de postes de résidents choisis lors du concours de résidanat 2015

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