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Responsable éditorial :
Professeur Larbi Abid
Des médecins cubains en Algérie
Note du 14/11/2019 17:46:32.
Le 1er Prix « Tedjini Haddam » décerné au Pr Jean-Paul Grangaud
Note du 05/11/2019 11:03:27.
Ouverture des inscriptions au Certificat de sur-spécialisation en hépatologie, gastro-entérologie et nutrition pédiatrique
Note du 30/07/2019 16:07:29.
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Djillali Belkhenchir est ne le 30 mars 1941 à Oued Rhiou (Relizane). Sa vie a été marquée par une volonté constante de faire coïncider son métier de médecin et sa conviction profonde que l'être humain est un tout dont il faut considérer chacun des aspects avec une égale et bienveillante attention.
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Pendant longtemps, le paludisme a considérablement pesé de tout son poids sur la vie des hommes de ce pays quelque soit leur race ou leur origine ainsi que sur le développement de vastes territoires. L’histoire du paludisme en Algérie révèle de nombreux enseignements sur les hommes, leurs us et coutumes et sur la relation entre eux et cette maladie.
Professeur Larbi Abid - Mai 2014
L’exercice à titre privé des professions de santé a connu un essor considérable depuis la promulgation de la loi 88-15 du 3 mai 1988 modifiant et complétant la loi 85-05 du 16 février 1985 relative à la protection et à la promotion de la santé qui a propulsé l’émergence des établissements de santé privés et a conforté ce secteur par une offre de soins de plus en plus présente sur le plan quantitatif. Des établissements privés existaient : il s’agit d’établissements érigés durant l’ère coloniale, certains intégrés dans la consistance du secteur public. D’autres structures comme les maisons d’accouchement ont été exploitées par des sages-femmes, et ont constitué le patrimoine privé en matière d’établissement de santé. Celles-ci ne disposant pas de bloc opératoire, n’offraient pas toutes les conditions de sécurité pour la prise en charge des accouchées. Elles ont graduellement disparu pour être remplacées par les cliniques médico-chirurgicales dont l’organisation et la mise en fonctionnement étaient déterminées par les dispositions des textes d’application de la loi susmentionnée.
Professeur Larbi Abid - Avril 2015
Les algériens ont une perception très pessimiste de l’évolution de leur système de santé. Ils estiment qu’il n’y a pas assez de médecins et que ces derniers sont de plus en plus mal répartis sur le territoire. Selon le ministre de la santé le secteur public compte (en 2015), 40.000 médecins généralistes, 17.000 spécialistes et 120.000 paramédicaux. Même si globalement les indicateurs de santé sont relativement bons, Le pays est cependant confronté à un défi majeur de santé publique lié aux fortes inégalités territoriales en matière de santé des populations et de répartition de l’offre de soins. Il existe, en effet, des zones sous médicalisées dans lesquelles les citoyens éprouvent des difficultés à accéder aux soins dans des conditions de proximité et de délais satisfaisantes.
Professeur Larbi Abid - Juin 2015
Comme il fallait s’y attendre, la publication des résultats des membres sélectionnés pour constituer le noyau fondateur de l’ASTA par un jury international constitué par des académiciens issus d’académies prestigieuses (académies des sciences et de technologies de France, Royal Academy du Royaume Uni, National Academy of Sciences des USA, Deutsche Akademie der Wissenschaften Leopoldina d’Allemagne et la Swedish Academy of Engineering Sciences) a suscité une réaction négative de la part de professeurs de médecine n’ayant pas été retenus par le jury.
Professeur Larbi Abid - Juin 2015
La formation en résidence de médecine dite aussi formation médicale postdoctorale est l'étape finale de l'enseignement médical avant l’obtention du diplôme d’études médicales spécialisé en sciences de la santé (DEMS). La formation médicale postdoctorale a pour objet le développement et le perfectionnement des compétences du médecin résident afin de lui permettre d'exercer une spécialité médicale en milieu hospitalier. En Algérie, les programmes de formation médicale postdoctorale durent entre quatre et cinq ans.
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