Accueil Santemaghreb.com Accès aux sites pays Santé Maghreb en Algérie ALGERIESanté Maghreb au Maroc MAROCSanté Maghreb en Tunisie TUNISIE



Odonto-Stomatologie tropicale - 1ère revue dentaire internationale panafricaine - Plus d'informations

Ce site utilise des cookies afin d'améliorer la navigation et mesurer la fréquentation. Pour en savoir plus, cliquez ici


Professeur Larbi Abid
Responsable éditorial :
Professeur Larbi Abid


Bloc notes

Des médecins cubains en Algérie
Note du 14/11/2019 17:46:32.

Le 1er Prix « Tedjini Haddam » décerné au Pr Jean-Paul Grangaud
Note du 05/11/2019 11:03:27.

Ouverture des inscriptions au Certificat de sur-spécialisation en hépatologie, gastro-entérologie et nutrition pédiatrique
Note du 30/07/2019 16:07:29.

> Voir le bloc-notes


Informations Hospitalo-universitaires

Programme d'études

> Consulter tous les programmes


Documentation

> Consulter toute la documentation


Histoire de l'Algérie médicale

Les hommes et les femmes


BENLARBEY Mohamed Seghir (1850-1939) - Premier médecin algérien

Né au mois de Safar 1267 correspondant au mois de Décembre 1850 à Cherchell, Mohamed Seghir est l'un des trois frères Benlarbey tous érudits en langue française. Le plus âgé, Mohamed I'ainé est interprète, le second Kaddour, médecin dans les palais de Tunis, puis à Constantine.

> Consulter toutes les biographies


Naissance de la médecine algérienne

Repères pour une histoire de la tuberculose en Algérie

Depuis l’antiquité, la tuberculose est présente dans le bassin méditerranéen : en témoignent les séquelles de tuberculose du rachis sur une momie égyptienne de la XXIème dynastie, ainsi que les traces d’établissement "sanatoriaux" pour phtisiques en Egypte 1000 ans avant l’ère chrétienne. Pendant toute la période qui s’étende du 8ème au 19ème siècle, les migrations humaines entre las pays du Maghreb et ceux du moyen orient, l’arrivée au Maghreb des réfugiés de l’Andalousie ont favorisé en Algérie à la fois l’entretien de la maladie et la diffusion des connaissances empiriques de l’époque.

> Consulter toutes les rétrospectives

Editorial


L’hôpital public

Professeur Larbi Abid - Algérie - Avril 2019

L’hôpital public n’est certainement pas une entreprise, mis il est encore moins une administration, bien que la plupart des directeurs d’hôpitaux les considèrent et gèrent comme une administration.

Des règles de gestion interne, un système de financement (on est encore au budget global), une gestion de la ressource humaine dépassée (instabilité des cadres administratifs, selon le bon vouloir aussi bien du ministère pour ce qui est du directeur de l’établissement que du directeur lui-même pour ce qui est des autres cadres qui doivent pratiquement prêter allégeance à chaque fois qu’un nouveau directeur est installé, au risque d’être relevé avec l’accord des DSP et même de la tutelle ! ) mettent l’hôpital en situation difficile vis-à-vis de sa mission qui est de répondre aux besoins de santé de la population qu’il dessert.

Pour ce qui du personnel de santé (médical et paramédical), l’époque est révolue où l’on se retranchait derrière la formule « la santé n’a pas de prix ». À l’heure actuelle on est confronté à une réduction insidieuse du personnel paramédical par le non remplacement des infirmiers et infirmières arrivés à l’âge de la retraite ou tout simplement démissionnant car ne supportant plus le stress quotidien. Cette réduction de personnel paramédical semble être la réponse du secteur de la santé à la décision gouvernementale de dégraissage des effectifs dans la fonction publique.
Les impératifs financiers ne devraient pas interférer sur la qualité et l’humanité des soins. En chirurgie par exemple, la qualité du soin ne dépend pas seulement de la qualité du plateau technique mais également de l’environnement. Même lorsque l’on a la technicité et le plateau technique idoine, a-t-on le droit de réaliser un acte chirurgical lourd pour laisser le malade en postopératoire sous la surveillance d’un seul paramédical qui doit également surveiller tous les malades d’un service de 25/30 lits ? Doit-on refuser d’opérer des patients car nous ne sommes pas sûrs d’assurer une surveillance postopératoire adéquate ?
Que fait la direction de l’établissement vis-à- vis de ce problème ? Elle préfère plutôt s’occuper de l’embellissement extérieur de l’établissement (el madaher, c’est ce qui importe le plus, hélas !) et laisser au médecin de trouver une réponse à ce problème.

La phrase magique : Allah Ghaleb machi fi yedi !

Le médecin chef de service est responsable de la compétence technique et du dévouement aux malades de son équipe mais la gestion de la ressource humaine lui échappe, laissée aux administrateurs qui saupoudrent de manière identique, les différents services hospitaliers (médicaux ou chirurgicaux) du même nombre d’agents paramédicaux considérant ainsi être équitable envers les uns et les autres, en agissant ainsi.
La promotion du service public hospitalier, support essentiel du progrès médical et garant de la qualité des soins, mérite la remise en cause des certitudes ancrées sous le crane de beaucoup de directeurs d’établissements hospitaliers.

Voir tous les éditos



CONTACTEZ-NOUS

Adresse

  • Espace Santé 3
    521, avenue de Rome
    83500 La Seyne sur mer - France

Téléphone

  • +33 4 94 63 24 99

Contactez-nous


APIDPM

Qui sommes-nous ?

Droits d'utilisation

CARTE DU SITE

Actualités

Bibliothèque

Multimedia

Web médical


Site éditeur :

Valid XHTML 1.0 Strict CSS Valide !