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Responsable éditorial :
Professeur Larbi Abid
Des médecins cubains en Algérie
Note du 14/11/2019 17:46:32.
Le 1er Prix « Tedjini Haddam » décerné au Pr Jean-Paul Grangaud
Note du 05/11/2019 11:03:27.
Ouverture des inscriptions au Certificat de sur-spécialisation en hépatologie, gastro-entérologie et nutrition pédiatrique
Note du 30/07/2019 16:07:29.
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Robert Aubaniac est né le 23 février 1914 à Sidi Bel Abbès (Oranie) où il grandit et fait ses études secondaires. À 17 ans, le baccalauréat en poche il s’inscrit en médecine à Alger où ses parents le rejoignent l’année suivante, première transplantation, première migration.
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De derrière son bureau feutré parsemé de brochures scientifiques et d’un Coran rouge brique discrètement entre des feuillets épars, le professeur Nekhla semble perdu dans ses contemplations. Il vient de sortir du bloc opératoire, et dans sa tête défilent les images de l’acte chirurgical qu’il venait d’accomplir. A-t-il fait tout ce qu’il fallait pour annihiler la lourde pathologie qu’il venait d’opérer ?
Professeur Larbi Abid - Novembre 2017
A l’hôpital, 70 à 80% des infections sont manuportées et la meilleure prévention est donc le lavage des mains. Le patient doit être protégé essentiellement contre la flore microbienne des autres personnes. Quant au personnel hospitalier, il doit se prémunir contre le risque infectieux (sang, liquides biologiques, contact direct avec le patient colonisé à germe multi-résistant ou infecté).
Professeur Larbi Abid - Octobre 2017
Lors de la Conférence Nationale des Universités, qui s’est tenue le 27 juillet 2017 à la faculté de médecine d’Alger, nous avons eu de la part du Ministre de l’Enseignement Supérieur (MESRS) et du secrétaire général du même ministère, les grandes orientations sur la réforme des études médicales de graduation. Mais qu’en est-il du cursus de résidanat et en particulier du résidanat de chirurgie générale ?
Professeur Larbi Abid - Septembre 2017
Il y a quelques années, la regrettée professeure de gynéco-obstétrique Janine Belkhodja déplorait que « 50 ans après l’indépendance , l’on soit encore obligé de faire appel à la coopération médicale étrangère (chinoise et cubaine) pour prendre en charge les accouchements des parturientes en Algérie ». Ce besoin est encore d’actualité, comme le laisse suggérer les décès d’une jeune maman et de son enfant à Djelfa suivis de la détention provisoire d’une gynécologue et de sages-femmes avec constitution de partie civile du Ministère de la Santé ( !?!), premier responsable de l’organisation des soins dans le pays.
Professeur Larbi Abid - Juillet 2017
Lors du décès du professeur Aldjia Noureddine-Benallègue en 2015, doyenne des femmes médecins en Algérie (diplômée en 1946) et 1ère professeur hospitalo-universitaire, certains journalistes se sont empressés de la qualifier de doyenne des femmes médecins d’Afrique sans avoir vérifié s’il n’existait pas d’autres pionnières tant en Afrique du Nord qu’en Afrique Noire.
Professeur Larbi Abid - Mai 2017
Si l’Algérie est connue pour son sous-sol riche en hydrocarbures, matières premières qu’elle exporte, elle est également, depuis de nombreuses années, exportatrice de sa matière grise. Cette fuite des cerveaux concerne ingénieurs, enseignants universitaires, informaticiens, artistes, architectes, techniciens, médecins et même paramédicaux. Ce phénomène n’est pas propre à notre pays mais intéresse la majorité des pays africains dont 20 à 30% du corps médical formé dans les pays d’origine exercent dans les pays occidentaux, le plus souvent chez l’ancien colonisateur.
Proposé par Larbi Abid - Mars 2017
Auteur : Michiels B.
Il est pertinent de s’interroger sur l’opportunité de mettre en œuvre un programme de dépistage pour détecter le cancer de l’ovaire. La maladie est grave, souvent détectée tardivement et ainsi entachée d’un mauvais pronostic. Nous commentons dans ce numéro de Minerva, une étude qui montre que la détermination du taux de CA 125, associée à des examens de suivi appropriés chez les femmes âgées de 50 à 74 ans, conduit à un résultat favorable en termes de mortalité liée au cancer de l’ovaire, après exclusion des cas de cancer de l’ovaire présents au début de la période de dépistage.
Proposé par Larbi Abid - Février 2017
Auteurs : Peter A. Singer (1) et Jill W. Sheffield (2).
Cette année, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) élira un nouveau directeur général. En septembre dernier, les États membres de l’OMS ont nommé six candidats : Tedros Adhanom Ghebreyesus, Flavia Bustreo, Philippe Douste-Blazy, David Nabarro, Sania Nishtar et Miklós Szócska. Le 25 janvier, le Conseil exécutif de l’OMS sélectionnera trois d’entre eux ; et en mai, l’Assemblée mondiale de la santé élira l’un de ces candidats pour succéder à Margaret Chan.
Docteur Charlotte Costentin - Novembre 2016
Le nombre de cirrhoses dues au surpoids et à l'obésité est désormais plus élevé que le nombre de cirrhoses dues à l'alcool additionnées aux cirrhoses dues aux hépatites virales. La (NASH) est la deuxième indication de transplantation hépatique aux États-Unis. La prévalence du carcinome hépatocellulaire (CHC) a été multipliée par 4 chez les patients avec cirrhose NASH en attente de LT.
Professeur Larbi Abid - Janvier 2016
Le cancer colorectal (CCR) arrive en 2ème position par ordre de fréquence, après le cancer du sein chez la femme et le cancer du poumon chez l’homme. Le cancer colorectal est encore diagnostiqué à un stade tardif ; tous les thérapeutes qu’ils soient gastro-entérologues, chirurgiens, radiothérapeutes ou oncologues médicaux sont d’accord sur ce constat. Le dogme « mieux vaut prévenir que guérir », ajouté à la pression des distributeurs des tests de dépistage, fait que des voix s’élèvent pour demander la mise en place d’un dépistage de masse du CCR basé sur les tests immunologiques de recherche de sang humain dans les selles (iFOBT), transposant les résultats des études faites en Europe et Amérique du Nord à l’Algérie mais occultant les aspects socio-économiques différents.
Professeur Larbi Abid - Décembre 2015
Sans concertation aucune, le ministère de la santé a décidé que désormais les hôpitaux et structures de santé de proximité vont fonctionner par brigades de 8 heures à 20 heures. Dans un grand nombre de polycliniques, ces horaires sont déjà mis en application depuis quelques années. Dans les hôpitaux le personnel soignant obéit à différents types d’horaires selon la spécialité et les spécificités du service tout en maintenant un service 24h/24h, 7 jours sur 7 et 365 jours par an, comme dans tous les pays du monde car l’hôpital assure la continuité et la permanence des soins afin de répondre aux besoins d’une population consommatrice de soins et de plus en plus exigeante.
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