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Tenez-vous au courant des dernières informations sur la flambée de COVID-19, disponibles sur le site Web de l'OMS et auprès des autorités de santé publique nationales et locales.
Qu'est-ce qu'un coronavirus ?
Les coronavirus forment une vaste famille de virus qui peuvent être pathogènes chez l'homme et chez l'animal. On sait que, chez l'être humain, plusieurs coronavirus peuvent entraîner des infections respiratoires dont les manifestations vont du simple rhume à des maladies plus graves comme le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Le dernier coronavirus qui a été découvert est responsable de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19).
Le virus de la COVID-19 peut se transmettre sous les climats chauds et humides
D'après les données dont on dispose jusqu'à présent, le virus de la COVID-19 peut se transmettre dans TOUTES LES RÉGIONS, y compris les zones chaudes et humides. Indépendamment du climat, prenez des mesures de protection si vous vivez ou si vous vous rendez dans une zone où il y a des cas de COVID-19. Le meilleur moyen de se protéger contre l'infection est de se laver souvent les mains. Le lavage des mains élimine les virus qui pourraient s'y trouver et évite qu'on ne soit contaminé en se touchant les yeux, le nez ou la bouche.
Suite à une baisse palpable de la cadence de la campagne de vaccination à cause des retards de livraison des vaccins, d’autres mesures s’imposent pour assurer la continuité de l’injection des premières doses. Jugé efficace à 76% dès la première dose, le vaccin Astrazeneca peut être injecté une seule fois, avec une plus grande efficacité. Explications
Au moment où le stock vaccinal du Royaume ne cesse de baisser, impactant la continuité de la campagne de vaccination, le nombre des personnes nouvellement vaccinées a visiblement chuté ces derniers jours, au point d’atteindre 5.347 personnes samedi. Ceci est dû à la hausse des deuxièmes doses dont les rendez-vous se multiplient.
Face aux risques de nouveaux retards de livraison, des mesures d’économie de vaccin s’imposent aux yeux de Tayeb Hamdi, médecin et chercheur en politiques et systèmes de Santé, qui avait préconisé de prolonger la durée entre les deux doses du vaccin AstraZeneca, en la poussant de 4 à 12 semaines, afin de se focaliser davantage sur les catégories prioritaires de la population. En se basant les conclusions de deux études britanniques, publiées respectivement le 22 février et le 1er mars, le spécialiste explique que le vaccin d’Oxford pourrait se montrer plus efficace avec 12 semaines d’intervalle entre les deux doses au lieu de 4 semaines.
« L’efficacité du vaccin Oxford avec un schéma à 2 doses espacées de 12 semaines s’élève à 81% contre seulement 55% d’efficacité à un intervalle de 4 semaines, avec une production d’anticorps deux fois plus importante », a-t-il précisé ajoutant que le vaccin reste efficace à 76% contre la covid-19 après 22 jours de la première dose et à 67% contre les formes asymptomatiques.
Concernant les personnes ayant déjà contracté la maladie, la tâche est plus facile, Tayeb Hamdi estime qu’une seule dose suffit pour les vacciner, trois ou six mois de leur contamination. Le chercheur explique que la deuxième ne donne pas pratiquement plus d’anticorps chez les ex malades du coronavirus par rapport aux personnes qui ne l’ont jamais eu. « Ceci a amené la France à proposer de ne proposer qu’une seule injection à ces personnes ex COVID », a-t-il poursuivi.
Selon M. Hamdi, plusieurs études corroborent ce constat en avançant que les personnes ayant déjà attrapé le virus du SARS-COV2 produisent, après la première injection, des quantités d’anticorps 10 à 45 fois supérieurs à celles observées chez les autres. « Cette première dose serait en mesure de jouer un rôle de rappel et booster d’une immunité déjà enclenchée par l’infection », a-t-il souligné.
Anass Machloukh
Dans le contexte épidémiologique actuel et l'afflux important de patients présentant une atteinte respiratoire grave liée au SARS-CoV-2 (COVID-19), il est nécessaire de disposer d'outils de formation accélérée à la prise en charge de la défaillance respiratoire chez ces patients afin de rendre opérationnel un maximum de professionnels de santé.
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