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Tenez-vous au courant des dernières informations sur la flambée de COVID-19, disponibles sur le site Web de l'OMS et auprès des autorités de santé publique nationales et locales.
Qu'est-ce qu'un coronavirus ?
Les coronavirus forment une vaste famille de virus qui peuvent être pathogènes chez l'homme et chez l'animal. On sait que, chez l'être humain, plusieurs coronavirus peuvent entraîner des infections respiratoires dont les manifestations vont du simple rhume à des maladies plus graves comme le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Le dernier coronavirus qui a été découvert est responsable de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19).
Le virus de la COVID-19 peut se transmettre sous les climats chauds et humides
D'après les données dont on dispose jusqu'à présent, le virus de la COVID-19 peut se transmettre dans TOUTES LES RÉGIONS, y compris les zones chaudes et humides. Indépendamment du climat, prenez des mesures de protection si vous vivez ou si vous vous rendez dans une zone où il y a des cas de COVID-19. Le meilleur moyen de se protéger contre l'infection est de se laver souvent les mains. Le lavage des mains élimine les virus qui pourraient s'y trouver et évite qu'on ne soit contaminé en se touchant les yeux, le nez ou la bouche.
À l'occasion de la célébration, le 4 février, de la Journée mondiale du cancer, le ministre de la Santé a informé qu'en 2020, au terme de la campagne de sensibilisation sur les cancers féminins Octobre Rose, plus de 14 000 personnes ont été dépistées, dont plusieurs milliers prises immédiatement en charge gratuitement.
Du 1er octobre au 16 novembre 2020, des milliers de tubes issus des prélèvements effectués sur cette période dans les différentes structures hospitalières du pays sont parvenus à l'unité d'anatomie pathologique du laboratoire de biologie médicale du Centre hospitalier universitaire de Libreville. Selon le ministre de la Santé qui a pris part, jeudi 4 février, à la cérémonie de présentation officielle des résultats de la dernière édition de la campagne Octobre Rose organisée à l'occasion de la Journée mondiale du cancer, ce sont plus de 14 000 personnes qui ont été dépistées dans la capitale et à l'intérieur du pays.
Dr Guy Patrick Obiang Ndong précise que ce chiffre concerne aussi bien le dépistage du cancer du col de l'utérus que celui du sein. Des dépistages qui, informe-t-il, ont permis d'identifier et d'orienter dans les structures sanitaires dédiées au traitement de ces cancers plus de 700 personnes. Et selon le membre du gouvernement, 75 d'entre elles ont été prises en charge.
Plus de deux mois après la fin de la campagne octobre Rose, Ali et Sylvia Bongo Ondimba n'ont pas cessé la sensibilisation. Sur les réseaux sociaux, chacun de son côté, le chef de l'État et son épouse ont exhorté jeudi à poursuivre les dépistages, particulièrement pour les femmes, principales victimes. «40 % des cancers sont évitables grâce à la prévention. Et grâce au dépistage précoce, de nombreux autres peuvent être soignés», a posté sur Facebook le président de la République, non sans assurer qu'«au Gabon, renforcer la lutte contre le cancer est une priorité nationale et l'un des enjeux majeurs du Plan Égalité femme-homme».
Pour sa part, Sylvia Bongo Ondimba, dont la fondation éponyme est active depuis plusieurs années dans la lutte contre les cancers féminins, a lancé sur Twitter : «Allons consulter et faisons-nous dépister. On ne le répètera jamais assez. Ces gestes simples peuvent nous sauver la vie.» La Première dame assure par ailleurs que «partout au Gabon, les professionnels de santé sont là pour nous et nous prennent en charge toute l'année».
Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), dans le monde, 17 personnes meurent chaque minute à cause du cancer.
Dans le contexte épidémiologique actuel et l'afflux important de patients présentant une atteinte respiratoire grave liée au SARS-CoV-2 (COVID-19), il est nécessaire de disposer d'outils de formation accélérée à la prise en charge de la défaillance respiratoire chez ces patients afin de rendre opérationnel un maximum de professionnels de santé.
C'est tout l'objet de ce cours qui se présente sous forme d'un « mini MOOC » qui nécessite 2 heures d'investissement au maximum. Plus d'informations
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