Lire le document (PDF UNICEF)
Tenez-vous au courant des dernières informations sur la flambée de COVID-19, disponibles sur le site Web de l'OMS et auprès des autorités de santé publique nationales et locales.
Qu'est-ce qu'un coronavirus ?
Les coronavirus forment une vaste famille de virus qui peuvent être pathogènes chez l'homme et chez l'animal. On sait que, chez l'être humain, plusieurs coronavirus peuvent entraîner des infections respiratoires dont les manifestations vont du simple rhume à des maladies plus graves comme le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Le dernier coronavirus qui a été découvert est responsable de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19).
Le virus de la COVID-19 peut se transmettre sous les climats chauds et humides
D'après les données dont on dispose jusqu'à présent, le virus de la COVID-19 peut se transmettre dans TOUTES LES RÉGIONS, y compris les zones chaudes et humides. Indépendamment du climat, prenez des mesures de protection si vous vivez ou si vous vous rendez dans une zone où il y a des cas de COVID-19. Le meilleur moyen de se protéger contre l'infection est de se laver souvent les mains. Le lavage des mains élimine les virus qui pourraient s'y trouver et évite qu'on ne soit contaminé en se touchant les yeux, le nez ou la bouche.
L’OMS suggère l’utilisation d’anticoagulants à faible dose pour empêcher la formation de caillots dans les vaisseaux sanguins (thrombose). L’agence onusienne préconise aussi d’utiliser des doses plus faibles plutôt que des doses plus élevées, car ces dernières peuvent entraîner d’autres problèmes.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a publié, mardi 26 janvier 2021, de nouvelles directives sur les soins aux patients du coronavirus, y compris ceux qui présentent des symptômes persistants après leur rétablissement, et a également recommandé l’utilisation d’anticoagulants à faible dose.
Ainsi, pour les patients hospitalisés, l’OMS suggère « l’utilisation d’anticoagulants à faible dose pour empêcher la formation de caillots dans les vaisseaux sanguins (thrombose) », a déclaré Margaret Harris, porte-parole de l’OMS, lors d’un point de presse virtuel depuis Genève. L’agence onusienne préconise d’utiliser des doses plus faibles plutôt que des doses plus élevées, car « des doses plus élevées peuvent entraîner d’autres problèmes ».
Par ailleurs, les directives de l’OMS sur les soins aux patients confirment que la position ventrale est efficace pour améliorer l’oxygénation des patients hospitalisés, qui prennent un supplément d’oxygène ou qui sont sous ventilation non invasive. « L’OMS a conseillé aux cliniciens de mettre les patients en position couchée éveillée, sur le ventre, ce qui améliore le flux d’oxygène », a ajouté Harris.
Suivi régulier
Les personnes infectées chez elles devraient encore pouvoir mesurer le taux d’oxygénation dans leur habitation. Pour les patients atteints de la maladie et consultés à domicile, l’OMS suggère l’utilisation de l’oxymétrie de pouls pour mesurer les niveaux d’oxygène dans le sang. « L’utilisation de l’oxymétrie de pouls permettra de déterminer si la situation se détériore quelque peu chez les patients et s’il serait préférable de les hospitaliser », a fait valoir la porte-parole de l’OMS. Mais une telle mesure doit être coordonnée avec d’autres aspects des soins à domicile, tels que l’éducation du patient et du prestataire de soins et le suivi régulier du malade.
Plus généralement, les lignes directrices préconisent également de privilégier le jugement clinique par rapport aux modèles dans la prise de décisions concernant les soins du patient. A ce sujet, l’agence onusienne conseille aux cas confirmés ou suspectés, «un accès à des soins de suivi s’ils présentent des symptômes persistants, nouveaux ou changeants».
L’OMS s’est donc penchée sur l’état post-Covid. En effet, le coronavirus SARS-CoV-2 peut entraîner une maladie prolongée. Le terme «Covid long» décrit la maladie chez les personnes qui ont encore des symptômes plusieurs semaines après l’infection. Selon l’agence onusienne, des preuves ont été également recueillies sur l’état post-Covid et ont montré l’évolution et la persistance des symptômes.
« Et les personnes rétablies du coronavirus continuent à avoir des problèmes à long terme, comme une fatigue extrême, une toux persistante et une intolérance à l’exercice physique », a fait remarquer l’OMS.
Dans le contexte épidémiologique actuel et l'afflux important de patients présentant une atteinte respiratoire grave liée au SARS-CoV-2 (COVID-19), il est nécessaire de disposer d'outils de formation accélérée à la prise en charge de la défaillance respiratoire chez ces patients afin de rendre opérationnel un maximum de professionnels de santé.
C'est tout l'objet de ce cours qui se présente sous forme d'un « mini MOOC » qui nécessite 2 heures d'investissement au maximum. Plus d'informations
Adresse
Téléphone
Contactez-nous
Site éditeur :