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Tenez-vous au courant des dernières informations sur la flambée de COVID-19, disponibles sur le site Web de l'OMS et auprès des autorités de santé publique nationales et locales.
Qu'est-ce qu'un coronavirus ?
Les coronavirus forment une vaste famille de virus qui peuvent être pathogènes chez l'homme et chez l'animal. On sait que, chez l'être humain, plusieurs coronavirus peuvent entraîner des infections respiratoires dont les manifestations vont du simple rhume à des maladies plus graves comme le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Le dernier coronavirus qui a été découvert est responsable de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19).
Le virus de la COVID-19 peut se transmettre sous les climats chauds et humides
D'après les données dont on dispose jusqu'à présent, le virus de la COVID-19 peut se transmettre dans TOUTES LES RÉGIONS, y compris les zones chaudes et humides. Indépendamment du climat, prenez des mesures de protection si vous vivez ou si vous vous rendez dans une zone où il y a des cas de COVID-19. Le meilleur moyen de se protéger contre l'infection est de se laver souvent les mains. Le lavage des mains élimine les virus qui pourraient s'y trouver et évite qu'on ne soit contaminé en se touchant les yeux, le nez ou la bouche.
Les procédures de diagnostic et de traitement des maladies cardiaques ont chuté de près des deux tiers au printemps 2020 par rapport à 2019, selon une enquête publiée vendredi à Vienne et reposant sur l’étude de 900 centres hospitaliers dans 108 pays.
L’enquête de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), dont le siège est en Autriche, montre une baisse de 64% des examens en cardiologie en mars-avril 2020 par rapport à la même période de l’année précédente, l’impact étant « brutal et significatif », et notable dans toutes les régions étudiées.
Environ 718.000 bilans cardiologiques n’ont pas été effectués dans les centres hospitaliers étudiés au cours de ces deux mois en raison de la première vague de la pandémie, confirmant l’impact négatif de cette dernière sur les systèmes de santé, selon les auteurs.
L’enquête a examiné les données de plusieurs types d’examens du cœur tels que les échographies, les angiographies et les tests d’effort.
L’AIEA étudie et fait régulièrement la promotion des usages civils du nucléaire, notamment dans les examens médicaux.
Selon l’organisation, la baisse du nombre des bilans est «principalement due au fait que les patients évitent les examens de crainte d’une possible exposition au coronavirus à l’hôpital, de la réduction des plages de rendez-vous liée à l’extension des mesures de désinfection et aussi des aérosolisations prévues pour protéger les personnels».
L’agence précise que des pénuries d’équipements de protection pour les personnels soignants ont aussi été signalées dans 22% des centres étudiés.
Elle montre que les examens les plus touchés sont ceux qui prennent le plus de temps ainsi que ceux où le risque d’exposition à des infections au coronavirus sont les plus importants.
Ainsi, les tests d’effort où des gouttelettes de sueur et de salive sont susceptibles d’être libérées dans l’air ont été les plus perturbés, avec une baisse de 78%.
Les maladies cardiaques ont été la première cause de décès dans le monde au cours des vingt dernières années.
En décembre, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré qu’elles «tuaient plus de gens que jamais auparavant», avec neuf millions de décès en 2019, soit une hausse de deux millions depuis 2000.
« Nous ne voulons pas que les personnes souffrant de maladies cardiaques ne puissent pas bénéficier d’un diagnostic et d’un traitement en temps utile ou qu’elles développent des complications graves qui auraient pu être évitées », a déclaré le Dr Michelle Williams, de l’université d’Édimbourg, co-auteur de l’étude.
L’année dernière, l’AIEA a également mis en garde contre l’impact négatif de la pandémie sur les services de médecine nucléaire pour le traitement du cancer.
Dans le contexte épidémiologique actuel et l'afflux important de patients présentant une atteinte respiratoire grave liée au SARS-CoV-2 (COVID-19), il est nécessaire de disposer d'outils de formation accélérée à la prise en charge de la défaillance respiratoire chez ces patients afin de rendre opérationnel un maximum de professionnels de santé.
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