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Tenez-vous au courant des dernières informations sur la flambée de COVID-19, disponibles sur le site Web de l'OMS et auprès des autorités de santé publique nationales et locales.
Qu'est-ce qu'un coronavirus ?
Les coronavirus forment une vaste famille de virus qui peuvent être pathogènes chez l'homme et chez l'animal. On sait que, chez l'être humain, plusieurs coronavirus peuvent entraîner des infections respiratoires dont les manifestations vont du simple rhume à des maladies plus graves comme le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Le dernier coronavirus qui a été découvert est responsable de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19).
Le virus de la COVID-19 peut se transmettre sous les climats chauds et humides
D'après les données dont on dispose jusqu'à présent, le virus de la COVID-19 peut se transmettre dans TOUTES LES RÉGIONS, y compris les zones chaudes et humides. Indépendamment du climat, prenez des mesures de protection si vous vivez ou si vous vous rendez dans une zone où il y a des cas de COVID-19. Le meilleur moyen de se protéger contre l'infection est de se laver souvent les mains. Le lavage des mains élimine les virus qui pourraient s'y trouver et évite qu'on ne soit contaminé en se touchant les yeux, le nez ou la bouche.
Après n’avoir juré que par les tests PCR pour le dépistage des personnes atteintes du Covid-19, les autorités sanitaires changent de stratégie. Désormais, les personnes testées positives aux tests antigéniques devront également être notifiées. Les laboratoires qui les effectuent sont priés d’en informer la Direction de la prévention via la plateforme dédiée à la collecte d’informations.
Nawal Imès - Alger (Le Soir) - Considérée depuis le début de la pandémie de Covid-19 comme le seul test de référence, la PCR ne sera désormais plus la seule à être prise en compte pour alimenter les statistiques. Les cas positifs testés grâce aux tests antigéniques seront désormais pris en compte.
Dans une note datée du 27 décembre et signée par le directeur de la prévention, relative à l’actualisation de la définition des cas Covid-19, il est demandé aux laboratoires effectuant lesdits tests de notifier les cas confirmés, testés par PCR ou par tests antigéniques à la Direction de la santé et de la population, notamment sur la plateforme dédiée.
Le directeur de la prévention au ministère de la Santé explique cette nouvelle approche par « l’évolution de la situation épidémiologique ». Il s’agit, selon la note, d’actualiser la définition de cas confirmés et rappeler la notification et réalisation d’enquêtes systématiques autour de tout cas confirmé.
Il est dit dans ladite note que, désormais, un cas confirmé est « toute personne symptomatique ou non avec un test moléculaire (PCR) ou un test rapide antigénique ».
Contrairement à la note datant du 5 mai dernier, la définition d’un cas confirmé inclut dorénavant les tests moléculaires de type tests rapides antigéniques et doit être notifiée. Jusque-là, le bilan quotidien élaboré par les services du ministère de la Santé ne prenait en compte que les cas confirmés par PCR. Idem pour les décès.
Après n’avoir accordé pendant des mois du crédit qu’aux tests PCR, les autorités sanitaires ont graduellement commencé à vanter les mérites des antigéniques.
Le ministre de la Santé annonçait, il y a plusieurs semaines, que ces tests présentaient plusieurs avantages, à savoir la rapidité avec laquelle les résultats étaient obtenus mais également le prix, plus bas que celui appliqué à la PCR.
Récemment, la Caisse nationale d’assurances a été instruite de rembourser les tests de dépistage du coronavirus. Une décision qui aura pour conséquence une augmentation de la cadence du dépistage. Cette dernière se répercutera certainement sur le bilan quotidien.
En toute logique, si le nombre de tests augmente, le nombre de personnes potentiellement positives au Covid-19 sera appelé à augmenter, même si, depuis plusieurs jours déjà, le bilan quotidien établi par le ministère de la Santé confirme une tendance baissière.
N. I.
Dans le contexte épidémiologique actuel et l'afflux important de patients présentant une atteinte respiratoire grave liée au SARS-CoV-2 (COVID-19), il est nécessaire de disposer d'outils de formation accélérée à la prise en charge de la défaillance respiratoire chez ces patients afin de rendre opérationnel un maximum de professionnels de santé.
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