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Tenez-vous au courant des dernières informations sur la flambée de COVID-19, disponibles sur le site Web de l'OMS et auprès des autorités de santé publique nationales et locales.
Qu'est-ce qu'un coronavirus ?
Les coronavirus forment une vaste famille de virus qui peuvent être pathogènes chez l'homme et chez l'animal. On sait que, chez l'être humain, plusieurs coronavirus peuvent entraîner des infections respiratoires dont les manifestations vont du simple rhume à des maladies plus graves comme le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Le dernier coronavirus qui a été découvert est responsable de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19).
Le virus de la COVID-19 peut se transmettre sous les climats chauds et humides
D'après les données dont on dispose jusqu'à présent, le virus de la COVID-19 peut se transmettre dans TOUTES LES RÉGIONS, y compris les zones chaudes et humides. Indépendamment du climat, prenez des mesures de protection si vous vivez ou si vous vous rendez dans une zone où il y a des cas de COVID-19. Le meilleur moyen de se protéger contre l'infection est de se laver souvent les mains. Le lavage des mains élimine les virus qui pourraient s'y trouver et évite qu'on ne soit contaminé en se touchant les yeux, le nez ou la bouche.
Un QR Code sera attribué à toute personne vaccinée contre le SARS CoV-2 pour voyager. Le vaccin sera remboursable pour les assurés et gratuit pour les démunis. Quant aux vaccins, celui d’AstraZeneca nourrit des doutes quant à sa disponibilité en janvier 2021.
Explications.
Suite à des omissions dans le protocole de test inhérentes à la posologie qui nécessitent désormais une nouvelle étude, comme cela a été annoncé par le directeur général du laboratoire britanno-suédois AstraZeneca, Pascal Soriot, peut-on continuer à croire que ce vaccin, dont l’efficacité moyenne contre le Sars-CoV-2 est de 70%, sera livré au Maroc courant janvier 2021 ? Pour rappel, le Maroc avait conclu avec le russe R-Pharm, qui le produira sous licence, un accord pour une commande de 17 millions de doses.
« Maintenant que nous avons trouvé ce qui semble être une meilleure efficacité, nous devons la valider, donc nous devons faire une étude supplémentaire qui pourrait être rapide car nous savons que l’efficacité est élevée, nous avons donc besoin d’un plus petit nombre de patients », a souligné Pascal Soriot.
Développé par le laboratoire britannique AstraZeneca et l’université d’Oxford, le ChAdOx1 nCoV-19 a été attaqué par les médias occidentaux, notamment français, sur la crédibilité de la démarche scientifique poursuivie.
Une étude supplémentaire
Ce qui s’est passé, c’est que la firme britanno-suédoise avait annoncé son efficacité à 90% pour des volontaires qui ont reçu une demi-dose dans un premier temps puis une dose complète un mois plus tard. L’erreur de la demi-dose administrée au départ a été reconnue par le laboratoire. Si les doutes planent sur la disponibilité immédiate ou courtermiste du vaccin d’AstraZeneca, celui chinois des laboratoires Sinopharm est en cours de livraison au Maroc.
La campagne de vaccination débutera mi-décembre. Dans une déclaration à la chaîne 2M, le ministre de la Santé, Khalid Aït Taleb, a affirmé qu’un QR code sera attribué à toute personne vaccinée contre le SARS CoV-2, qui lui permettra de voyager en dehors du Maroc. Il sera donc obligatoire pour tout voyageur désirant se déplacer à l’étranger.
« Il faut faire un suivi des personnes vaccinées qui seront enregistrées sur les listes électroniques et se verront attribuer un QR code, car nous voulons que les Marocains soient parmi les premiers à être vaccinés étant donné que le monde entier demandera un passeport immunologique », a-t-il expliqué.
Le vaccin anti-Covid est remboursable pour les assurés bénéficiant d’une couverture médicale, que ce soit celle d’une société d’assurance ou celle des organismes gestionnaires de l’AMO, et gratuit pour les plus démunis, conclut le ministre. Pour l’heure, son département s’attelle à préparer la base légale, la logistique, la programmation de la vaccination et l’accompagnement central et régional ainsi que le suivi post-vaccination.
Dans le contexte épidémiologique actuel et l'afflux important de patients présentant une atteinte respiratoire grave liée au SARS-CoV-2 (COVID-19), il est nécessaire de disposer d'outils de formation accélérée à la prise en charge de la défaillance respiratoire chez ces patients afin de rendre opérationnel un maximum de professionnels de santé.
C'est tout l'objet de ce cours qui se présente sous forme d'un « mini MOOC » qui nécessite 2 heures d'investissement au maximum. Plus d'informations
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