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Tenez-vous au courant des dernières informations sur la flambée de COVID-19, disponibles sur le site Web de l'OMS et auprès des autorités de santé publique nationales et locales.
Qu'est-ce qu'un coronavirus ?
Les coronavirus forment une vaste famille de virus qui peuvent être pathogènes chez l'homme et chez l'animal. On sait que, chez l'être humain, plusieurs coronavirus peuvent entraîner des infections respiratoires dont les manifestations vont du simple rhume à des maladies plus graves comme le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Le dernier coronavirus qui a été découvert est responsable de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19).
Le virus de la COVID-19 peut se transmettre sous les climats chauds et humides
D'après les données dont on dispose jusqu'à présent, le virus de la COVID-19 peut se transmettre dans TOUTES LES RÉGIONS, y compris les zones chaudes et humides. Indépendamment du climat, prenez des mesures de protection si vous vivez ou si vous vous rendez dans une zone où il y a des cas de COVID-19. Le meilleur moyen de se protéger contre l'infection est de se laver souvent les mains. Le lavage des mains élimine les virus qui pourraient s'y trouver et évite qu'on ne soit contaminé en se touchant les yeux, le nez ou la bouche.
Le cancer du col de l'utérus constitue un véritable problème de santé, aussi bien au Maroc que dans le monde entier. Consciente de ce phénomène, l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a annoncé, mardi 17 novembre 2020, la mise en place d'une nouvelle stratégie visant à élminier le cancer du col de l'utérus, estimant que grâce à l'accès généralisé à la vaccination, au dépistage et au traitement, 5 millions de vies seraient sauvées d'ici 2050.
Dans un communiqué publié à cette occasion, le DG de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a souligné que « l'élimination d'un cancer aurait auparavant semblé un rêve impossible, mais nous disposons aujourd'hui d'outils efficaces et peu coûteux, s'appuyant sur des données probantes, pour faire de ce rêve une réalité ». En effet, alerte l'OMS, à défaut de nouvelles mesures, le nombre annuel de nouveaux cas devrait passer de 570.000 à 700.000 entre 2018 et 2030, et le nombre annuel de décès augmenter de 311.000 à 400.000, alerte l'OMS. « Nous ne pouvons toutefois éliminer le cancer du col de l'utérus en tant que problème de santé publique que si nous allions à la puissance des outils dont nous disposons une détermination sans faille pour que leur utilisation soit élargie à l'échelle mondiale », a souligné le chef de l'OMS.
A ce jour, les trois outils clés contre ce cancer à savoir la vaccination, le dépistage et le traitement ont été généralisés dans plusieurs pays du monde. Toutefois, la situation est loin d'être la même dans le reste du monde, en raison notamment du coût élevé du vaccin.
Plus en détail, la stratégie de l'OMS vise à ce que 90% des filles soient vaccinées contre le papillomavirus humain (responsable du cancer du col de l'utérus) à l'âge de 15 ans. Elle prévoit également que 70% des femmes bénéficient d'un dépistage à l'âge de 35 ans et 45 ans et que 90% des femmes chez qui une maladie du col de l'utérus a été diagnostiquée soient traitées. Si ces mesures sont mises en œuvre avec succès d'ici 2030, les nouveaux cas de la maladie pourraient être réduits de plus de 40% et le nombre des décès liés à la maladie de 5 millions d'ici 2050.
Selon l'OMS, tous les seront alors sur la bonne voie pour éliminer ce cancer. L'agence onusienne est toutefois consciente que la stratégie est lancée en pleine pandémie de Covid-19, qui met en péril la prévention des décès dus au cancer compte tenu de l'interruption des services de vaccination.
Dans le contexte épidémiologique actuel et l'afflux important de patients présentant une atteinte respiratoire grave liée au SARS-CoV-2 (COVID-19), il est nécessaire de disposer d'outils de formation accélérée à la prise en charge de la défaillance respiratoire chez ces patients afin de rendre opérationnel un maximum de professionnels de santé.
C'est tout l'objet de ce cours qui se présente sous forme d'un « mini MOOC » qui nécessite 2 heures d'investissement au maximum. Plus d'informations
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