Lire le document (PDF UNICEF)
Tenez-vous au courant des dernières informations sur la flambée de COVID-19, disponibles sur le site Web de l'OMS et auprès des autorités de santé publique nationales et locales.
Qu'est-ce qu'un coronavirus ?
Les coronavirus forment une vaste famille de virus qui peuvent être pathogènes chez l'homme et chez l'animal. On sait que, chez l'être humain, plusieurs coronavirus peuvent entraîner des infections respiratoires dont les manifestations vont du simple rhume à des maladies plus graves comme le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Le dernier coronavirus qui a été découvert est responsable de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19).
Le virus de la COVID-19 peut se transmettre sous les climats chauds et humides
D'après les données dont on dispose jusqu'à présent, le virus de la COVID-19 peut se transmettre dans TOUTES LES RÉGIONS, y compris les zones chaudes et humides. Indépendamment du climat, prenez des mesures de protection si vous vivez ou si vous vous rendez dans une zone où il y a des cas de COVID-19. Le meilleur moyen de se protéger contre l'infection est de se laver souvent les mains. Le lavage des mains élimine les virus qui pourraient s'y trouver et évite qu'on ne soit contaminé en se touchant les yeux, le nez ou la bouche.
L’Algérie fait face depuis le début de ce mois à une flambée de l’épidémie de Covid-19. Le bilan quotidien des contaminations a quasiment triplé, imposant plus que jamais aux Algériens le respect des gestes barrières, mais est-ce que ces accessoires de protection sont disponibles et à la portée de tous ?
Les masques sont disponibles dans plusieurs marques et plusieurs modèles. Ces bavettes sont proposées sur les marchés par nos fournisseurs et ils sont de bonne qualité. Au détail et au niveau des officines leurs prix varient entre 35DA et 50 DA et les masques de meilleure qualité sont proposés à 70 DA ou 80 DA.
Mais les familles aux revenus modestes peuvent-elles se permettre d’acheter ces masques à ce prix, lorsque l’on sait que la pandémie va durer dans le temps ?
Je pense que c’est possible au regard des prix affichés. Nous proposons ces masques à différents prix : ça commence à 30 et ça va jusqu’à 80 DA. Donc le citoyen a l’embarras du choix. Ces bavettes répondent normalement aux normes et aux citoyens de choisir. Certains optent pour la durabilité, d’autres pour des masques avec plusieurs couches. Il y a dans les officines qui commercialisent des masques lavables à moindre coût (200 DA) et qui ont une durée de vie de 30 jours.
Il faut savoir aussi que l’Etat et les experts encouragent les citoyens à utiliser les masques alternatifs artisanaux ou de fabrication domestique, donc même les petites bourses peuvent s’en procurer. Au niveau des officines, nous ne pouvons pas proposer aux citoyens des masques en tissu simple. Nous préférons rester dans le médical et dans les normes, mais il est possible pour n’importe quel citoyen d’accéder à ce genre de protection en faisant le choix en fonction de ses moyens.
Est-ce qu’il y a un rush sur ces masques ?
Un rush non, mais il y a une utilisation régulière. Ce n’est pas le rush des premiers jours comme aux mois de mars et avril. Ces masques sont certes demandés, mais de manière modérée. Je pense que la demande a diminué au niveau des officines après l’autorisation donnée aux commerçants de vendre ce produit.
Beaucoup de parties demandent le remboursement de ces masques ; est-ce possible ?
Je ne pense pas que les autorités vont répondre favorablement à cette demande. Cette question n’est pas à l’ordre du jour. Les seringues utilisées par les diabétiques ne sont pas remboursables, alors que dire des masques ! Rien qu’à voir la polémique qui s’est installée autour du vaccin antigrippal, l’on a la réponse ! Il est commercialisé sans être admis au remboursement et maintenant il y a un remboursement avec un tarif de référence.
Dans le contexte épidémiologique actuel et l'afflux important de patients présentant une atteinte respiratoire grave liée au SARS-CoV-2 (COVID-19), il est nécessaire de disposer d'outils de formation accélérée à la prise en charge de la défaillance respiratoire chez ces patients afin de rendre opérationnel un maximum de professionnels de santé.
C'est tout l'objet de ce cours qui se présente sous forme d'un « mini MOOC » qui nécessite 2 heures d'investissement au maximum. Plus d'informations
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