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Tenez-vous au courant des dernières informations sur la flambée de COVID-19, disponibles sur le site Web de l'OMS et auprès des autorités de santé publique nationales et locales.
Qu'est-ce qu'un coronavirus ?
Les coronavirus forment une vaste famille de virus qui peuvent être pathogènes chez l'homme et chez l'animal. On sait que, chez l'être humain, plusieurs coronavirus peuvent entraîner des infections respiratoires dont les manifestations vont du simple rhume à des maladies plus graves comme le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Le dernier coronavirus qui a été découvert est responsable de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19).
Le virus de la COVID-19 peut se transmettre sous les climats chauds et humides
D'après les données dont on dispose jusqu'à présent, le virus de la COVID-19 peut se transmettre dans TOUTES LES RÉGIONS, y compris les zones chaudes et humides. Indépendamment du climat, prenez des mesures de protection si vous vivez ou si vous vous rendez dans une zone où il y a des cas de COVID-19. Le meilleur moyen de se protéger contre l'infection est de se laver souvent les mains. Le lavage des mains élimine les virus qui pourraient s'y trouver et évite qu'on ne soit contaminé en se touchant les yeux, le nez ou la bouche.
MAScIR lance la production à grande échelle du test PCR Covid-19 100% marocain. C’est ce qu’a annoncé la fondation marocaine ce jeudi. En effet, le kit de diagnostic du Sars-CoV2/Covid-19 fabriqué et conçu par la startup Moldiag a déjà reçu une première commande de 100.000 unités du ministère de la santé. « Après avoir obtenu, courant mai 2020, les validations nationale et internationale de son kit diagnostic du Sars-CoV2/Covid-19, le défi majeur de Moldiag, start-up filiale de la Fondation MAScIR, centre de recherche et de développement, a été de lancer en urgence son unité de production industrielle. - Lire la suite
Les pouvoirs publics ont opté pour un allégement progressif du confinement, qu’est-ce qui a motivé cette décision ? Il n’y a pas eu de déconfinement définitif, mais un allégement progressif du confinement. Cette décision répond aux indications épidémiologiques dont nous disposons et qui évoluent dans le bon sens. Aujourd’hui dans beaucoup de wilayas, la situation est maîtrisée et on enregistre moins de cas de contamination. Mieux, les professionnels de la santé soufflent et travaillent plus au moins à l’aise. Dans ce cas de figure, on s’est dit qu’on peut éventuellement alléger les procédures de confinement. Mais dans les régions où les taux de contamination sont à la hausse et où le système de santé n’est pas maîtrisé par rapport à cette épidémie, nous préférons maintenir le confinement. - Lire la suite
La gravité de la pandémie du Covid-19, en termes d'impact humain, social, économique et de santé publique, pousse les Etats à une course contre la montre pour la mise au point de vaccins efficaces. Une étape qui passe nécessairement par la phase d’essais cliniques, qui peuvent susciter inquiétude et appréhension. - Lire la suite
Le ministère de la Santé a indiqué, mardi, que le taux de reproduction du virus a atteint 0,95 à la fin de la semaine écoulée (24-30 août), soulignant que la situation épidémiologique “n’est pas bonne” malgré une amélioration des données par rapport à la semaine précédente. Dans sa déclaration hebdomadaire sur la situation épidémiologique aux niveaux national et international, le ministère a souligné que le développement du taux de reproduction du virus, qui a augmenté de manière significative avec la levée du confinement, avant de baisser progressivement, a atteint 1 au début de la semaine dernière, puis a diminué à 0,95 en fin de semaine. - Lire la suite
Près de 90% des pays ont connu des perturbations dans leurs services de santé depuis le début de la crise liée au nouveau coronavirus, a indiqué, lundi, l’Organisation mondiale de la santé (OMS), précisant que les pays à revenu faible et intermédiaire ont enregistré les plus grandes difficultés. « Les données collectées dans cinq régions au cours de la période allant de mars à juin 2020 montrent que presque tous les pays (90%) ont connu des perturbations dans leurs services de santé, les pays à revenu faible et intermédiaire rapportant les plus grandes difficultés », - Lire la suite
La Covid-19 a fait un retour en force en Tunisie depuis la levée des mesures de confinement au début de l’été. Le nombre de nouveaux cas positifs n’a cessé d’augmenter, notamment au cours du mois d’août avec un pic de 176 cas, le 23 du mois, contre un pic journalier de 59 cas, le 24 mars 2020, lors de la première vague. Cette évolution suscite des interrogations autour de l’évolution de ce virus et de ses conséquences. Pour essayer de comprendre cette évolution, nous avons rencontré le Dr Mohamed Ben Dhiab, professeur en médecine légale, membre de la cellule de crise « Covid-19 » du CHU Farhat-Hached de Sousse et porte-parole de cet établissement. Interview - Lire la suite
Il y a six mois, le premier cas algérien de Covid-19 a été enregistré en Algérie, soit le 29 février dernier. Deux cas suspects d’une même famille se présentent à l’hôpital de Boufarik, dans la wilaya de Blida, épicentre de la pandémie. Ils sont déclarés positifs. Depuis le début de l’épidémie, le total des cas confirmés s’élève à 43 016, celui des décès à 1475, alors que le nombre des patients guéris est passé à 30 157. Le nombre de cas hospitalisés est inconnu puisqu’il n’est pas indiqué dans les statistiques du ministère de la Santé, qui comptabilise seulement le nombre de cas hospitalisés en soins intensifs, qui serait actuellement de 28 patients. - Lire la suite
Une première au Maroc. Le prototype d’un lit de réanimation, conçu et fabriqué 100% au Maroc conformément aux standards internationaux en termes de sécurité et de performance et à un prix compétitif, a été présenté jeudi soir à Casablanca, en présence du ministre de l’Industrie, du commerce, de l’économie verte et numérique, Moulay Hafid Elalamy. - Lire la suite
AlBayane : l’épidémie ne semble pas fléchir, chaque jour le nombre de nouveaux cas de coronavirus dépasse les 1.000. Faut-il craindre une deuxième vague avec l’arrivée de l’automne et l’hiver ? Docteur Omar Menzhi : L’augmentation du nombre de nouveaux cas qui sont actuellement enregistrés, n’a rien de fortuit, ce n’est pas dû au hasard, c’est essentiellement le résultat des comportements irresponsables de certains citoyens qui font preuve d’un relâchement concernant l’observation des mesures barrières et la distanciation physique. - Lire la suite
Au cours des dernières semaines, nous enregistrons chaque jour un nombre important de nouveaux cas de coronavirus. Une situation qui inquiété tout le monde, car cette flambée soudaine des cas d’infection du Covid 19 fait craindre le scénario cauchemardesque d’une deuxième vague. Avec près de 830000 morts dans le monde, le vaccin semble être la seule réponse pour endiguer le virus. Le Maroc n’est pas en reste, il participe aux côtés d’experts chinois à l’élaboration d’un vaccin anti covid. - Lire la suite
Le Professeur Jaâfar Heikel spécialiste en maladies infectieuses et santé publique, a déclaré qu’un patient atteint du coronavirus, coûte à l’’Etat entre 15.000 et 18.000 dirhams dans les dix jours suivant l’établissement hospitalier son séjour et le traitement. Dans le cas d’une hospitalisation à domicile, cela revient à 3900 dirhams tandis que les soins préventifs reviennent à 900 dirhams. Jaâfar Heikel a fait cette déclaration, lors d’un séminaire organisé dans le cadre des activités du Forum des jeunes du Parti de la justice et du développement (PJD) aujourd’hui, mercredi, affirmant que les chiffres du ministère de la Santé sur les infections par le coronavirus au Maroc sont « réels et objectifs ». - Lire la suite
Membre du Comité scientifique de suivi de l’épidémie de coronavirus, le Pr Riad Mehyaoui affirme que la situation épidémiologique est en phase de plateau. « Nous avons observé une augmentation sensible des consultations », révèle-t-il dans une déclaration à El Moudjahid. - Lire la suite
Les résultats de la RT/PCR sont signés exclusivement par le biologiste médical. L’Institut Pasteur d’Algérie, les biologistes médicaux et leurs sociétés savantes alertent contre d’éventuelles dérives concernant l’activité du diagnostic et la validation des résultats des tests RT/PCR pour le dépistage et le diagnostic de la Covid-19. - Lire la suite
L'apparition de nouveaux foyers épidémiques dans certaines villes du Royaume laisse craindre une deuxième vague de contaminations au Covid-19 ou un éventuel reconfinement. Le spécialiste en maladies infectieuses et santé publique, Jaafar Heikel, a livré à la MAP sa lecture de la situation épidémiologique au Maroc et ses conseils en vue d'enrayer l'augmentation du nombre de cas dans le pays. - Lire la suite
Cinq parturientes atteintes de la Covid-19 ont donné naissance à des bébés sains à l’Etablissement hospitalo-universitaire (EHU) d’Oran « 1er Novembre 1954 » depuis le début de la pandémie et leurs nouveau-nés, en bonne santé, ont reçu un traitement préventif, a-t-on appris hier auprès de cette structure de santé publique. - Lire la suite
Depuis l’apparition des premiers cas de coronavirus et alors que l’épidémie gagnait chaque jour du terrain, traversant les frontières de tous les pays, entrainant dans son sillage des millions de malades, des milliers de décès, obligeant les populations à se confiner pour lutter contre un ennemi nuisible, invisible et énigmatique, nombre d’interrogations se font valoir de nos jours. Nous savons aujourd’hui que la covid-19 est particulièrement dangereux pour les personnes fragiles. Les femmes enceintes sont-elles plus à risque face à l’épidémie de la Covid-19 ? Doivent-elles être systématiquement hospitalisées si elles sont testées positives au virus ? Le bébé peut-il être contaminé ? Autant de questions parmi tant d’autres qui nous amènent à faire le point avec le docteur Chenfouri Abdelillah, spécialiste en gynécologie obstétrique. - Lire la suite
Créer des centres d’isolement des malades de la Covid -19 hors des hôpitaux La situation épidémiologique dans le pays suscite l’inquiétude. Ces dernières semaines, l’Algérie enregistre une augmentation des cas de contamination à la Covid-19. Pour le professeur Bengounia, épidémiologiste et chercheur en sciences médicales, la situation est particulièrement préoccupante et grave. « Nous constatons une augmentation sensible des cas de contamination dans plusieurs wilayas », note-t-il, affirmant, cependant, que l’on ne peut parler de seconde vague. « Cette expression n’est pas en phase avec la réalité de l’évolution des virus et des pandémies », précise-t-il, relevant qu’en l’absence d’immunité collective le virus continuera à circuler activement et à contaminer. - Lire la suite
Pour pallier le manque de tests PCR, le recours aux tests sérologiques est une option de diagnostic. Dans la stratégie de prise en charge de la maladie Covid-19 élaborée par le ministère de la Santé dès le début de l’épidémie et complétée au fur à mesure de l’évolution de la pandémie ne prévoit aucune disposition, ni la conduite à tenir concernant l’utilisation des tests sérologiques et leur indication. - Lire la suite
Le recours au tests rapides ou tests sérologiques est actuellement fréquent devant une suspicion de contamination et l’explosion du nombre de cas Covid-19. Est-ce qu’ils sont aussi fiables que la PCR ? En matière d’examens biologiques, on préfère parler de la pertinence et non pas de la fiabilité du test. En effet, la pertinence d’un test biologique dépend de sa spécificité (est-ce que tous les patients testés postifs SARS-Cov2 sont atteints de la Covid-19 ?) et de sa sensibilité (est-ce que tous les patients atteints de la Covid-19 sont détectables par le test ?) à la fois, alors que la fiabilité fait allusion surtout à la reproductibilité du test, c’est-à-dire si on teste et reteste l’échantillon, et on voit si on trouve le même résultat. - Lire la suite
A un moment où le monde s’est relâché face au respect des gestes barrières. A un moment où le Maroc a organisé une opération commando pour rapatrier ses citoyens bloqués, depuis plusieurs mois à l’étranger, en plus des étudiants résidents et les MRE qui prendra fin le 31 août prochain. A un moment aussi où plusieurs quartiers de la ville de Tanger viennent d’être confinés, sous l’effet d’un relâchement notable… Pr Kamal Marhoum El Filali, chef de service des maladies infectieuses à l’hôpital Ibn Rochd de Casablanca fait le point sur la situation actuelle au Maroc, envoie les signaux d’alerte urgents, informe sur les tests PCR, sérologique et les vaccins. Il livre aussi les critères qui définissent une seconde vague dans un pays. Le Maroc n’est pas à l’abri. La vigilance est de mise. L’état d’urgence décrété jusqu’au 10 août se justifie à plus d’un titre. - Lire la suite
Dans le contexte épidémiologique actuel et l'afflux important de patients présentant une atteinte respiratoire grave liée au SARS-CoV-2 (COVID-19), il est nécessaire de disposer d'outils de formation accélérée à la prise en charge de la défaillance respiratoire chez ces patients afin de rendre opérationnel un maximum de professionnels de santé.
C'est tout l'objet de ce cours qui se présente sous forme d'un « mini MOOC » qui nécessite 2 heures d'investissement au maximum. Plus d'informations
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