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Tenez-vous au courant des dernières informations sur la flambée de COVID-19, disponibles sur le site Web de l'OMS et auprès des autorités de santé publique nationales et locales.
Qu'est-ce qu'un coronavirus ?
Les coronavirus forment une vaste famille de virus qui peuvent être pathogènes chez l'homme et chez l'animal. On sait que, chez l'être humain, plusieurs coronavirus peuvent entraîner des infections respiratoires dont les manifestations vont du simple rhume à des maladies plus graves comme le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Le dernier coronavirus qui a été découvert est responsable de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19).
Le virus de la COVID-19 peut se transmettre sous les climats chauds et humides
D'après les données dont on dispose jusqu'à présent, le virus de la COVID-19 peut se transmettre dans TOUTES LES RÉGIONS, y compris les zones chaudes et humides. Indépendamment du climat, prenez des mesures de protection si vous vivez ou si vous vous rendez dans une zone où il y a des cas de COVID-19. Le meilleur moyen de se protéger contre l'infection est de se laver souvent les mains. Le lavage des mains élimine les virus qui pourraient s'y trouver et évite qu'on ne soit contaminé en se touchant les yeux, le nez ou la bouche.
Le professeur Kamel Sanhadji, président de l'Agence nationale de sécurité sanitaire, a déclaré à El Moudjahid qu'en ce moment, il serait préférable de parler de vaccin-candidat, et non pas d'un vaccin prêt pour être distribué. L’immunologie explique que « le vaccin-candidat semble être confectionné en un temps record, par rapport aux procédures connues au sein de la communauté scientifique », et d'ajouter «dans la situation ordinaire, la mise au point d'un vaccin est un processus complexe, qui demande entre 6 mois et deux ans, voire dix ans pour des virus plus complexes comme le VIH et ce pour la production, le conditionnement, les essais cliniques et la livraison auprès des populations concernées ». - Lire la suite
ALGER- Le ministre de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière, Pr. Abderrahmane Benbouzid, a affirmé dimanche à Alger que "les cas sévères ou de décès auprès des diabétiques atteints du coronavirus sont observés en grande partie chez les personnes âgées de 65 ans et plus". S’exprimant lors d'une rencontre scientifique à l'occasion de la célébration de la Journée mondiale du diabète, (14 novembre) en présence du ministre délégué chargé de la Réforme hospitalière, Pr. Smail Mesbah, le ministre a précisé que le diabète "n’aggrave pas le risque de contamination au Covid-19 mais peut toutefois être à l’origine de symptômes aigus et de complications en cas de contamination". - Lire la suite
Des complications graves et précoces chez les patients Covid-19 de forme modérée à sévère. Un phénomène inquiétant pour les spécialistes, qui pensent à une mutation du virus. Relativement épargnés depuis le début de la pandémie, les jeunes sont de plus en plus touchés, dont des formes graves qui les mènent jusqu’à des opérations de réanimation intensives et parfois au décès. La courbe haussière de l’épidémie de Covid-19 avec une tendance de cas d’infections graves, dont l’évolution est imprévisible, inquiète les spécialistes. - Lire la suite
Les cas de Covid-19 présentent des complications parfois graves dès le début de leur hospitalisation. Est-ce le cas dans votre unité ? Effectivement, les patients Covid-19 arrivent aux urgences, ces derniers jours, en détresse respiratoire aiguë nécessitant de l’oxygénothérapie avec des signes de complications cardiaques précoces. Chez ceux qui présentent des formes sévères, ces complications s’accentuent. Nous avons constaté que les patients Covid-19 présentant des formes modérées à sévères développent des complications cardiovasculaires sévères, même chez les jeunes adultes. - Lire la suite
En ces jours ensoleillés du mois de novembre, l’effervescence qui caractérise l’hôpital Mustapha-Pacha ne faiblit pas. L’accès à ce grand CHU est constamment bloqué par des dizaines de voitures qui se disputent l’entrée à longueur de journée. Les différentes plaques minéralogiques se dirigeant vers cet hôpital donnent une idée sur sa renommée, qui a, apparemment, dépassé les limites territoriales de la capitale. Les occupants des véhicules viennent des quatre coins du pays à la recherche, sans doute, de la meilleure prise en charge possible ou de l’émérite expertise médicale de ses centaines de professeurs, maîtres assistants et autres praticiens spécialistes. - Lire la suite
Les questions autour du virus fantôme Sars-Cov 2 ne manquent pas. Mais il yen a une qui revient souvent : Peut-on contracter le virus une seconde fois, après une première infection ? La réponse à cette question est plutôt délicate parce qu’il s’agit justement d’un “nouveau” virus. En effet, Pr. Moulay Mustapha Ennaji, virologue et directeur du laboratoire de virologie à l’Université Hassan II de Casablanca, explique dans une analyse à Hespress Fr que ce qui est connu “c’est qu’un virus est composé d’un certain nombre d’antigènes. - Lire la suite
La situation qui n’est pas rassurante pour le personnel médical et paramédical dans les structures Covid, où la charge de travail est devenue stressante face au manque de moyens humains, matériels et surtout en équipements de soins et de protection. Un très grand écart est signalé entre les moyens déployés dans les hôpitaux de Constantine et le nombre des cas positifs à prendre en charge. Avec 39 cas enregistrés dans la journée de mardi, la wilaya de Constantine a atteint le seuil alarmant des contaminations au coronavirus. - Lire la suite
C’est un réel soulagement et une bonne nouvelle qu’a annoncée le cabinet royal dans la soirée du lundi 9 novembre. Le Roi Mohamed VI a donné ses hautes instructions pour le lancement dans les prochaines semaines, d’une opération massive de vaccination contre la Covid-19, lors d’une séance de travail qu’il a présidé lundi consacrée à la stratégie de vaccination. Cette opération devra couvrir les citoyens âgés de plus de 18 ans, selon un schéma vaccinal en deux injections. La priorité sera notamment donnée aux personnels de première ligne, en l’occurrence, le personnel de santé, les autorités publiques, les forces de sécurité et le personnel de l’éducation nationale, ainsi qu’aux personnes âgées et aux personnes vulnérables au virus, et ce, avant de l’élargir au reste de la population. - Lire la suite
Le taux de reproduction de la Covid-19 a atteint 1,22 au niveau national, a indiqué mardi le coordonnateur du Centre national des opérations d’urgence de santé publique au ministère de la Santé, Mouad Mrabet. Dans sa présentation du bilan bimensuel relatif à la situation épidémiologique, M. Mrabet a souligné que le développement du taux de reproduction s’explique par l’augmentation significative du nombre des cas contaminés par la Covid-19 au niveau national, «puisque nous enregistrons chaque jour des chiffres records, notamment 259.951 cas positifs à la Covid-19 jusqu’au lundi 9 novembre, avec un taux d’incidence cumulé de 715,8/100.000 habitants», a-t-il dit. - Lire la suite
Le directeur de l’Institut Pasteur de Tunis et membre du comité scientifique de lutte contre le Coronavirus, Hechmi Louzir, a déclaré, mercredi, que la Tunisie a identifié ses besoins préliminaires en vaccins contre le Coronavirus dès sa disponibilité sur le marché, pour couvrir 20% des Tunisiens, ajoutant que ce taux pourrait atteindre 40% de la population, en fonction des moyens financiers et l’évolution de la situation épidémiologique dans le pays. Lors d’un point de presse tenu mercredi par le ministère de la Santé, Louzir a indiqué que 20% des Tunisiens prioritaires en matière de vaccination contre le Coronavirus, regroupe les personnes âgées, les personnes atteintes de maladies chroniques, le personnel de santé ainsi que les hauts responsables de l’État, signalant que la Tunisie obtiendra les doses de vaccins, au cours du premier trimestre de 2021. - Lire la suite
Ils sont nombreux à Constantine à se prendre en charge seuls contre le coronavirus, et à échapper par conséquent aux statistiques officielles, rendant ainsi difficile, voire impossible l’établissement d’une carte fiable du nombre de personnes atteintes par l’épidémie dans la wilaya. Nasser D. est enseignant universitaire à Constantine. Depuis la dernière semaine d’octobre, il est cloué au lit, souffrant des symptômes de la Covid-19. Mais comme beaucoup, Nasser nous apprend qu’il n’a pas consulté de structures sanitaires du secteur public ni un cabinet privé, qu’il a établi lui-même le diagnostic et décidé de son automédication en suivant le protocole anti-coronavirus vendu librement en pharmacie. - Lire la suite
Au Maroc, le débat prédomine sur les réseaux sociaux comme dans les discussions privées : faut-il se faire vacciner contre la Covid-19 ou pas ? L’opération massive de vaccination contre la Covid-19 qui devrait commencer en décembre et durer quelques mois sera-telle obligatoire ? L’efficacité du vaccin est-elle prouvée ? Des questions, des hésitations et des inquiétudes qui ne sont pas purement exclusives aux seuls citoyens marocains. En effet, le débat est mondial. Une récente étude a démontré que le nombre de personnes désireuses de se faire vacciner contre la Covid-19 est en régression. - Lire la suite
Face à l’épidémie de la Covid-19 qui poursuit son expansion à travers toute la planète, la mise au point et le déploiement rapide, à l’échelle mondiale, de vaccins sûrs et efficaces contre la Covid-19 demeurent des éléments essentiels de la solution à apporter, à terme, à cette crise sanitaire internationale. Le vaccin constituerait, en effet, le seul moyen pour réussir à vaincre le coronavirus et permettre ainsi à l’ensemble des populations de la planète de réussir à retrouver une vie normale. Seule une vaccination massive pourrait jouer un rôle crucial pour permettre de sauver des vies et d’endiguer la pandémie. - Lire la suite
La région de l’Oriental fait face à une évolution inquiétante de la situation épidémiologique et plus particulièrement dans la ville d’Oujda. Les cas positifs ne cessent d’augmenter comme l’atteste le bulletin quotidien du ministère de la santé. Le nombre de cas positifs durant ces derniers jours varie entre 300 et plus de 700 cas quotidiennement. La région fait aussi face à une hausse des décès. - Lire la suite
Prudence, vigilance, précaution, mais pas de psychose. C’est en somme le message du Pr Jaâfar Heikel, invité de L’Info en Face pour un focus sur la situation épidémiologique au Maroc. Pendant 90 minutes de débat, le professeur de médecine préventive et spécialiste en maladies infectieuses a répondu aux questions de Rachid Hallaouy et celles des internautes dans le but d’apporter les éclairages nécessaires à un moment où les Marocains, et surtout les Casablancais, redoutent le pire dans l’évolution de la pandémie. Sans créer la psychose, l’expert a une nouvelle fois insisté sur la prudence et la nécessité de respecter les mesures barrières, et ce même en pleine discussion sur un probable vaccin anti-Covid qui serait disponible prochainement. - Lire la suite
Le protocole de prise en charge d’un patient confirmé Covid-19 au Maroc fait l’objet de plusieurs défaillances. Si cette mesure doit prendre en considération plusieurs critères, dont le plus important est d’éviter la contamination d’autres personnes (famille, amis, proches …), son application sur le terrain est scandaleuse, selon le témoignage de A.L, un jeune homme de Témara opérant dans le domaine du digital, qui a conté à Hespress Fr son périple après avoir été testé positif. - Lire la suite
ALGER- Le Président de l’Agence nationale de sécurité sanitaire, Pr. Kamel Sanhadji a affirmé lundi à Alger que scientifiquement parlant, il ne s'agit pas d'une deuxième vague de Covid-19 en Algérie, insistant sur l’impératif "respect individuel et scrupuleux" des gestes barrières pour enrayer l’expansion du virus. Invité à la radio nationale, M. Sanhadji a indiqué que la récente hausse des cas de contaminés par la covid-19 en Algérie "ne signifie en aucun cas l'enregistrement d'une deuxième vague". Scientifiquement parlant, dans le cas d'une deuxième vague, le virus doit changer, faire des mutations génétiques, évoluer et changer ses caractéristiques, ce qui n'est pas le cas en ce moment en Algérie", a-t-il déclaré. - Lire la suite
En milieu hospitalier, les délais du rendu des résultats des tests PCR s’allongent de jour en jour. Un facteur de blocage dans la gestion du flux des lits d’hospitalisation. Les retards dans le diagnostic de la Covid-19 sont un sérieux problème dans la lutte contre la pandémie qui avance à grands pas, notamment la deuxième vague qui s’annonce déjà très violente. Le nombre de PCR réalisé à ce jour au niveau national ne représente qu’une partie infime de la réalité. Aucun chiffre exact n’est communiqué à ce jour. - Lire la suite
A mesure que le Sars-cov2 poursuit sa propagation express, on se rend de plus en plus compte des multiples dysfonctionnements qui servent son dessein. Prenons l’exemple des enfants contaminés. Sur le papier, le ministère de la Santé recommande, via un protocole sanitaire, de maintenir l’enfant à l’abri de tout risque, en déconseillant aux parents, entre autres, d’emmener leurs chérubins déclarés Covid+ dans des endroits où ils risquent de rentrer en contact avec des personnes fragiles, en l’occurrence les femmes enceintes, les malades chroniques ou encore les personnes âgées. Oui mais voilà, sur le terrain, c’est une toute autre histoire. Les choses ne sont pas aussi limpides que cela. Et pour cause, il faut d’abord que l’enfant soit positif au coronavirus et donc qu’il ait passé les tests en vigueur. - Lire la suite
Depuis plusieurs jours, les cas de contamination à la Covid-19 sont en hausse et l’inquiétude est forte. L’Algérie a franchi la barre des 60 000 cas depuis le début de la pandémie, laissant le personnel médical dépassé. Le professeur Riad Mahyaoui, membre du comité scientifique de suivi de l’épidémie, n’a pas hésité à exprimer ses inquiétudes quant à la situation épidémiologique que connaît le pays depuis quelques jours. - Lire la suite
Dans le contexte épidémiologique actuel et l'afflux important de patients présentant une atteinte respiratoire grave liée au SARS-CoV-2 (COVID-19), il est nécessaire de disposer d'outils de formation accélérée à la prise en charge de la défaillance respiratoire chez ces patients afin de rendre opérationnel un maximum de professionnels de santé.
C'est tout l'objet de ce cours qui se présente sous forme d'un « mini MOOC » qui nécessite 2 heures d'investissement au maximum. Plus d'informations
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