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Tenez-vous au courant des dernières informations sur la flambée de COVID-19, disponibles sur le site Web de l'OMS et auprès des autorités de santé publique nationales et locales.
Qu'est-ce qu'un coronavirus ?
Les coronavirus forment une vaste famille de virus qui peuvent être pathogènes chez l'homme et chez l'animal. On sait que, chez l'être humain, plusieurs coronavirus peuvent entraîner des infections respiratoires dont les manifestations vont du simple rhume à des maladies plus graves comme le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Le dernier coronavirus qui a été découvert est responsable de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19).
Le virus de la COVID-19 peut se transmettre sous les climats chauds et humides
D'après les données dont on dispose jusqu'à présent, le virus de la COVID-19 peut se transmettre dans TOUTES LES RÉGIONS, y compris les zones chaudes et humides. Indépendamment du climat, prenez des mesures de protection si vous vivez ou si vous vous rendez dans une zone où il y a des cas de COVID-19. Le meilleur moyen de se protéger contre l'infection est de se laver souvent les mains. Le lavage des mains élimine les virus qui pourraient s'y trouver et évite qu'on ne soit contaminé en se touchant les yeux, le nez ou la bouche.
Deltacron, Omicron, vague de contaminations, vaccination, clusters... de nombreuses questions restent en suspens suite à la recrudescence des cas de contaminations à la Covid-19 au Maroc. Le point sur la situation avec Pr Abdelfettah Chakib, professeur de médecine au CHU Ibn Rochd et spécialiste des maladies infectieuses et tropicales, invité de L'Info en Face. - Lire la suite
La société tunisienne, InstaDeep, spécialisée dans l’intelligence artificielle, et la société de biotechnologie allemande, BioNTech, ont développé un système d’alerte précoce pour détecter les variantes potentielles à haut risque du Coronavirus, a indiqué un communiqué conjoint publié mardi par les deux sociétés sur leurs sites Internet. - Lire la suite
Le taux de positivité hebdomadaire a augmenté au niveau de toutes les régions avec un doublement au niveau national (de 10,2% à 21,7%). Le taux de reproduction effectif du virus est de 1.33. - Lire la suite
Le variant Omicron, moins virulent et plus transmissible, a propagé l’espoir d’atteindre l’immunité collective et sortir enfin de la pandémie de covid-19. Est-ce un scénario possible ? Réponse avec deux experts, Pr. Kamal Marhoum, épidémiologiste et chef du service des maladies infectieuses au CHU de Casablanca, et Dr. Tayeb Hamdi, médecin généraliste et chercheur en politiques et systèmes de santé. - Lire la suite
Lors des Assises nationales de la santé, organisées cette semaine, le président de la République avait mis en garde contre les effets néfastes de l’automédication qui constitue, selon lui, un danger réel pour la santé publique. Chose que confirme le docteur M'hamed Kouache, qui confie à El Moudjahid que de nombreuses personnes ont récemment développé des symptômes similaires à un rhume sévère, alors qu'il s'agit en fait du variant « Omicron ». « Avec la vague de froid qui sévit depuis quelque temps, plusieurs infections similaires à la grippe saisonnière accompagnées de symptômes sévères, tels que la fatigue, des douleurs articulaires et un écoulement nasal accompagné de toux, ont été enregistrées. - Lire la suite
Une équipe marocaine de chercheurs et de médecins a publié une étude scientifique sur un modèle d’intelligence artificielle qui permet de prédire la gravité du coronavirus parmi les personnes infectées, sur la base d’un certain nombre de données. - Lire la suite
La découverte du « Deltacron », une combinaison entre les variants Delta et Omicron, fait actuellement le tour de la Toile. Alors qu’un scientifique chypriote affirme l’avoir détecté chez 25 cas, plusieurs chercheurs se veulent plutôt sceptiques, mettant en avant l’hypothèse selon laquelle des échantillons se seraient contaminés lors de leur examen en laboratoire. - Lire la suite
Au front face au Covid-19 depuis déjà deux ans, le corps médical au Maroc est à bout. Alors que la troisième vague s’avère très dure avec l’avènement du nouveau variant Omicron, le personnel de santé au sein des hôpitaux du Royaume est épuisé. - Lire la suite
Les craintes de voir les services de réanimations dans les hôpitaux sous pression se confirment au fur et à mesure que les cas de contamination à la Covid-19 augmentent. Au CHU Ibn Rochd de Casablanca, les deux tiers des patients en réanimation sont atteints de maladies chroniques dont une grande partie n'ont pas pris la 3e dose du vaccin anti-Covid. Chafik Kettani, Professeur à la Faculté de Médecine et de Pharmacie de Casablanca, spécialiste en Anesthésie, Réanimation et médecine d’urgence nous en dit plus du cœur du pavillon 17 au CHU Ibn Roch à Casablanca. - Lire la suite
Face à la nouvelle vague du Covid-19, liée en grande partie à Omicron, plusieurs pays ont revu à la baisse la durée de l’isolement du professionnel soignant. Arguments avancés : D’une part, le variant actuel est moins agressif, et d’autre part, le personnel soignant est fortement sollicité avec un besoin criant. Selon Dr Tayeb Hamdi, médecin chercheur en politiques et systèmes de santé, une telle mesure permettrait au Maroc d’éviter de paralyser le système sanitaire, déjà en sous-effectifs. - Lire la suite
Le Comité scientifique et technique s’est réuni mardi pour statuer sur l’utilisation du médicament Molnupiravir, un antiviral développé par le laboratoire américain Merck pour le traitement de la Covid-19 chez l’adulte. Le Comité a finalement donné son aval pour cette pilule rouge. Le Dr. Said Moutawakil, membre dudit Comité, nous a confirmé que la Direction des médicaments et de la pharmacie (DMP) a donné l’autorisation de mise sur le marché (AMM) de cet antiviral. - Lire la suite
Dr Tayeb Hamdi, médecin et chercheur en politiques et systèmes de santé, préoccupé des rumeurs autour du flurona (contraction du mot « flu » (grippe en anglais) et de coronavirus) et largement diffusées dans les médias et les réseaux sociaux, a tenu au micro de Hespress.fr, à rectifier le tir. - Lire la suite
Au vu des derniers indicateurs épidémiologiques et des déclarations des médecins spécialistes, la Tunisie se dirige droit vers une nouvelle vague. Pour certains, nous sommes en plein dedans. Après une période de répit marquée notamment par la nette baisse des décès et des contaminations dus au coronavirus, la Tunisie doit craindre le pire, surtout si on sait que la propagation du nouveau variant Omicron s’accélère. - Lire la suite
La pression commence déjà à se faire sentir dans les hôpitaux du Maroc, notamment dans ceux de Casablanca. D’après les spécialistes contactés par « Le Matin », cette pression est observée particulièrement au niveau des services des urgences qui enregistrent quotidiennement une forte demande de consultations. La situation au niveau des services de réanimation reste encore maîtrisée, rassurent les responsables. - Lire la suite
Avec la propagation d’Omicron et surtout la multiplication des clusters familiaux, le recours à l’automédication est devenu le premier réflexe une fois que l’on a été testé positif et même avant. Cette pratique a tendance à s’amplifier notamment avec le changement des symptômes qui s'apparentent plus à des cas de grippe saisonnière. Bien que l'usage de certains traitements soit approuvé par la majorité des médecins, il est indispensable de consulter un spécialiste pour éviter toute complication notamment pour les personnes à risque. - Lire la suite
Faute de moyens financiers, la veille génomique actuellement mise en place au Maroc ne permet pas de faire les séquençages nécessaires pour avoir une idée précise sur la présence réelle du variant Omicron au Maroc. C’est ce qu’affirme le professeur Azeddine Ibrahimi, membre du Comité national scientifique et technique de la Covid-19. Il assure, en revanche, que le variant Omicron n’est pas encore dominant dans le Royaume, mais qu’il le sera bientôt. - Lire la suite
La perte du goût ou de l'odorat ou encore les sueurs et la fièvre importante ne figurent plus parmi les symptômes observés chez les patients atteints de la Covid-19, selon Pr Jaafar Heikel, épidémiologiste, professeur de médecine préventive et spécialiste des maladies infectieuse. Ce constat, bien qu’il soit relatif puisqu’il est basé sur des consultations médicales, laisse à penser que la nouvelle vague serait moins difficile à gérer. - Lire la suite
En plus de limiter la propagation de la Covid-19 et de diminuer les risques de développer des formes graves de la maladie, la vaccination anti-Covid-19 aurait d’autres avantages. Selon une étude, la vaccination réduirait le risque du syndrome inflammatoire multisystémique pédiatrique (fièvre, altération de la santé et troubles digestifs ou cardiaques) qui touche certains enfants infectés par le virus. Dr Laila Tami, pédiatre, estime que cette étude trouve tout son intérêt du fait que le PIMS a fait plusieurs centaines de victimes depuis le début de la pandémie à l’échelle mondiale. - Lire la suite
Comment un variant tel qu’Omicron peut-il apparaitre subitement et s’imposer aussi rapidement devant d’anciens variants ? Selon une récente étude allemande, les personnes immunodéprimées pourraient constituer un terreau propice au développement de nouveaux variants. Le point avec Dr Khadija Moussayer, spécialiste en Médecine interne et en gériatrie et présidente de l'Association marocaine des maladies auto-immunes et systémiques (Ammais). - Lire la suite
Symptômes plus légers, moins d’hospitalisation, 0 décès signalé, tous les indicateurs concernant le variant Omicron laisseraient croire qu’il est moins virulent que les précédentes souches. Mais ce n’est pas une raison pour se reposer sur nos lauriers. Il faut toujours rester vigilant, car ce nouveau variant peut être bien plus transmissible que le Delta, ce qui aurait un impact négatif sur la situation épidémiologique, selon Dr Tayeb Hamdi, médecin, chercheur en politiques et systèmes de santé. - Lire la suite
Dans le contexte épidémiologique actuel et l'afflux important de patients présentant une atteinte respiratoire grave liée au SARS-CoV-2 (COVID-19), il est nécessaire de disposer d'outils de formation accélérée à la prise en charge de la défaillance respiratoire chez ces patients afin de rendre opérationnel un maximum de professionnels de santé.
C'est tout l'objet de ce cours qui se présente sous forme d'un « mini MOOC » qui nécessite 2 heures d'investissement au maximum. Plus d'informations
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