Pour tous ces malades, la présence du virus a été décelée, précise-t-on, lors de visites médicales ou à l’occasion de donation de sang. Parmi les personnes touchées figurent des étrangers de pays africains. Cependant, de l’avis de spécialistes concernés, le nombre des cas déclarés est loin de refléter la réalité, dans la mesure où, disent-ils, le dépistage n’est pas obligatoire et le centre de dépistage volontaire est quasiment déserté en permanence par les citoyens.

Depuis janvier dernier à ce jour, seules 59 personnes ont daigné effectuer des tests dans cette structure qui offre, selon le service de prévention, les garanties nécessaires en matière de contrôle et de confidentialité des examens. L’on déplore également l’absence d’orientation de patients atteints de MST des cabinets médicaux privés vers le centre en question.

Par A. Y.