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Revue de presse

Saïd Barkat joue la carte de la transparence : grippe porcine : 5 cas avérés et 34 cas suspects en Algérie

Liberté-Algérie | Algérie | 02/07/2009

Le ministre estime qu’il faut tranquilliser la population, car l’Algérie s’en sort bien jusqu’ici, et annonce que 100 établissements de santé sont prévus pour la prise en charge de tous les cas qui seront signalés. Le ministre de la Santé, Saïd Barkat, s’est voulu rassurant, hier, à Oran, par rapport à la propagation de la grippe porcine en Algérie. Ainsi, il a tenu à rappeler que, pour l’heure, l’Algérie ne comptait “que 5 cas positifs” mais a fait savoir, aussi, l’existence de “34 cas suspects”, ajoutant que “l’Algérie a choisi d’agir dans la transparence, ce qui n’est pas le cas de tous les pays.

Il faut tranquilliser la population et rester sereins en recommandant des mesures d’hygiène et de prévention simple comme se laver les mains”. Et de poursuivre : “Nous avons prévu 100 établissements de santé qui sont prêts à prendre en charge les cas signalés. C’est une pandémie ; 106 pays dans le monde sont touchés, il faut rester sereins, l’Algérie s’en sort bien jusqu’ici.” À noter que rien qu’à Oran, l’on est dans l’attente de la confirmation ou de l’infirmation de 4 nouveaux cas suspects. Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière a tenu ces propos, hier, à l’occasion de sa visite à Oran où il se trouvait pour inaugurer les travaux des 2es journées nationales de pédagogie qui se tiennent à l’ITSP d’Oran, effectuant ainsi en l’espace de 48 heures sa seconde visite à la capitale de l’Ouest. Placées sous le thème “Vers l’autonomie de l’étudiant”, ces journées visent à faire entrer de plain-pied les formateurs des écoles paramédicales dans l’ère des TIC et d’amener les étudiants également à devenir acteurs de leur formation et demandeurs de savoir grâce aux nouvelles technologies. C’est le système même de formation qui évolue en fonction des changements technologiques et de la population, expliquera la sous-directrice de la formation paramédicale au ministère, Mlle Asloun.

Arrivé avec quelques heures de retard, le ministre a d’abord tenu à rendre hommage aux paramédicaux qui, dans des conditions et des moments difficiles, ont porté et sauvé la santé, dira-t-il lors de son allocution. Souvent mal considéré et mal aimé, le corps des paramédicaux devrait retrouver une meilleure place dans le système de santé algérien et le ministre d’annoncer qu’“il existe aujourd’hui 88 000 paramédicaux ; avec le programme ambitieux qui existe, il faut un apport humain important. Ce programme jusqu’à 2012 prévoit entre autres 199 nouveaux établissements hospitaliers, un institut du rein et de cardiologie, 10 centres de lutte contre le cancer, 356 polycliniques, etc. Pour assurer ce programme, nous devrons former à l’orée 2015 plus de 33 000 paramédicaux avec de nombreuses et nouvelles sous- spécialisations”. Et d’insister en expliquant que “le parc” des structures de santé à réceptionner d’ici 2015 ne pourra fonctionner sans la formation des paramédicaux attendue.

Le ministre rappellera d’ailleurs que l’ensemble des paramédicaux qui depuis 96 n’avaient pas trouvé de postes ont été repris.
Mlle Asloun confirmera aussi comme le ministre de la Santé que la revalorisation des métiers des paramédicaux est en cours en évoquant sur cette question les nouveaux plans de carrière qui vont voir le jour. Si, pour l’instant, un paramédical algérien, c’est un bac + 3, à l’avenir des sous-spécialités permettront à ces derniers de progresser et d’aller vers un bac + 5. Aujourd’hui doivent se clore les travaux de ces 2es journées nationales pédagogiques avec des recommandations à la clé.

Par : DJAMILA LOUKIL

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