Consultez les mentions légales (RCP) des médicaments disponibles dans votre pays
Médecine d'Afrique Noire
Consulter la revue
Médecine du Maghreb
Consulter la revue
Odonto-Stomatologie Tropicale
Consulter la revue
Restez informés : recevez, chaque jeudi, la lettre d'informations de Santé Maghreb.
Accueil > Santé Maghreb en Algérie > Revue de presse
Le quotidien d'Oran | Algérie | 19/06/2006
Selon le DSP, «la chaîne de coelioscopie a été mise en route en 2004 à l’hôpital Ahmed Medeghri d’Aïn Témouchent. Aussi, souligne-t-il, des spécialistes ont bénéficié d’une formation en France à cet effet et, depuis, pas moins de 120 actes de chirurgie ont été pratiqués avec un taux de réussite appréciable», sans le chiffrer.
En outre, le DSP entend «réceptionner une seconde chaîne de coelioscopie pour l’hôpital de Béni Saf cette année».
Cette importante rencontre de haut niveau scientifique a rassemblé des sommités du domaine. On cite notamment les professeurs Boubekeur Benkalfat, Bachir Bouiedjra, Belhendouz et Abid Ayad. Les pathologies cancéreuses du tube digestif étaient au menu du symposium.
Outre ce monde, il y avait également les grandes équipes de chirurgie des EHU (Oran), CHU de Tlemcen, Bel-Abbès, Oran et Rouiba. Ces promotions ont présenté leur expérience durant les 10 dernières années sur les cancers de l’estomac, du pancréas et l’hernie de l’aine.
L’impact attendu de la pratique de la coelioscopie et sa généralisation «est conséquent, nous explique le docteur Gherdaoui, et les premiers éléments positifs sont très encourageants, car elle permet d’écourter le séjour en milieu hospitalier, générant un retour rapide du malade en milieu professionnel ainsi qu’un gain économique dans la prise en charge des malades à même d’éviter des complications post opératoires telles que les éventrations».
Le professeur Koudidji Rachid, directeur de l’hôpital militaire d’Oran, souligne que le cancer d’estomac est le plus réputé en Algérie et à travers le monde, il est redoutable car il n’y a pas de thérapie médicale pour le vaincre sauf la chirurgie. Il met en relief que les malades arrivent tardivement «c’est-à-dire quand la cause prend des proportions alarmantes» et les taux de réussite deviennent assez faibles.
Que faut-il améliorer ? Selon lui, il faut faire des diagnostics précoces par la participation des médecins généralistes et des gastro-entérologues (endoscopie).
Amir N.
APIDPM © Copyright 2000-2024 - Tous droits réservés. Site réalisé et développé par APIDPM Santé tropicale.