Il ajoutera, devant les spécialistes et les médecins généralistes présents, que « 40% de patients atteints par la pathologie ne bénéficient pas de couverture sociale ». Une situation qui aggrave le cas pénible de ces jeunes diabétiques en chômage qui n’ont pas accès à la gratuité des médicaments (insuline) à l’instar des assurés sociaux. Selon l’intervenant, les principaux axes qui seront abordés au cours de cette journée vont concerner en premier lieu la prévention pivot de la médecine, le traitement, le régime alimentaire, l’exercice physique et l’autosurveillance.

Il a rappelé les conséquences du fléau susceptible, en cas de négligence de la part du patient, d’entraîner fatalement la cécité, l’hypertension, des troubles cardiaques, attaque rénale et se terminant par l’amputation et le décès. Le taux des patients atteints de la pathologie lourde dans la wilaya serait entre 5 et 8% selon les déclarations d’un médecin. Selon M. Benali, directeur du secteur sanitaire de Bechar, l’hôpital « 240 Lits » dispose aujourd’hui des moyens humains et matériels appréciables pour la prise en charge des citoyens touchés par les maladies chroniques.

Selon ses dires, trois spécialistes de ces pathologies travaillent à l’hôpital et une équipe médicale composée de spécialistes se déplace souvent au chevet des souffrants pour leur prise en charge médicale.

Par M. Nadjah