Santé Maghreb en Algérie -


encart_diam

Ce site utilise des cookies afin d'améliorer la navigation et mesurer la fréquentation. Pour en savoir plus, cliquez ici


encart_diam_ferrer

Consultez les mentions légales (RCP) des médicaments disponibles dans votre pays


vig_viral_facts


Vous souhaitez vous abonner à Médecine d'Afrique Noire, Médecine du Maghreb ou Odonto-Stomatologie tropicale ? Consulter des articles ? Rendez-vous sur le kiosque d'APIDPM - Plus d'informations


LE KIOSQUE APIDPM

Médecine d'Afrique Noire
Consulter la revue

Médecine du Maghreb
Consulter la revue

Odonto-Stomatologie Tropicale
Consulter la revue


NEWSLETTER

Restez informés : recevez, chaque jeudi, la lettre d'informations de Santé Maghreb.

Inscriptions et désinscriptions

Accueil > Santé Maghreb en Algérie > Revue de presse

Revue de presse

Greffe rénale : 120 dialysés attendent à Daksi

Le quotidien d'Oran | Algérie | 29/09/2008

De juin à septembre en cours, la clinique rénale de Daksi a enregistré à peine huit greffes rénales sous la conduite du professeur Dahdouh et de son équipe composée d'une dizaine de chirurgiens spécialisés. Selon ce responsable, «trois autres transplantations auront lieu au cours du mois d'octobre alors que dix patients seront vraisemblablement opérés dans les prochaines semaines». Pas moins de 120 malades dialysés sont inscrits à Daksi et attendent des dons de parents apparentés pour être éventuellement greffés à leur tour. Le nombre de ces gestes opératoires est jugé insuffisant et à ce sujet, le professeur Dahdouh affirme que «toutes ces lenteurs sont étroitement liées à l'absence de donneurs et surtout à la réticence de certains parents à donner un rein, même à leurs plus proches parents, alors que le donneur n'encourt aucun risque et son «don de vie» constitue plutôt un acte de charité inestimable.

Sur le plan de la religion et contrairement à ce que certains pensent, «l'Islam, précise le professeur Dahdouh, encourage la transplantation de tout genre». Et de donner l'exemple, de l'Arabie Saoudite, berceau de l'Islam, où l'on enregistre pas moins de 3.000 opérations par an.» Ces réticences et ces difficultés demandent une campagne d'explication permanente et tous ces gestes de sensibilisation relèvent du secteur de la santé, des médias, de la mosquée et de la société civile en général.

Questionné sur le prélèvement des organes sur les cadavres, ce qui est une autre alternative, le professeur Dahdouh nous explique «que ce procédé, n'est pas aussi simple qu'il le paraît. Avant tout, il faudrait que le cadavre soit encore à l'état de mort cérébrale pour que la greffe puisse, éventuellement, avoir lieu. Mais le plus dur est de demander aux parents des malades qui n'ont pas encore quitté l'hôpital, l'autorisation de prélever sur leur proche parent, tel ou tel organe.

Par Rahmani Aziz

Plus d'articles Algérien - Plus d'articles panafricains


Une question ? Une remarque ? Contactez-nous ?

AlgérieSanté Maghreb en Algérie
Le guide de la médecine et de la santé en Algérie


CARTE DU SITE




Connaissez-vous tous les sites web médicaux édités par APIDPM ?

Médecine d'Afrique noire électroniqueMédecine du Maghreb électroniqueOdonto-Stomatologie électronique

www.santetropicale.com - Le guide de la médecine et de la santé tropicalewww.pediatrieafricaine.com - Pédiatrie africaineRencontres Africaines de Nutrition Infantile (RANI)www.sm2ea.com - Santé de la mère et de l'enfant en AfriquePaludisme d'Afrique noirewww.sorlaf.com - Société d'ORL et de Chirurgie Cervico-Faciale des pays d'Afrique Francophone


Valid XHTML 1.0 Strict CSS Valide !