Les médecins généralistes, relève-t-il, pratiquent peut l'ECG, en pensant qu'il est réservé aux cardiologues.
L'objectif de l'organisation de cet atelier, fait-il observer, est d'encourager les omnipraticiens à pratiquer cet examen, à le réaliser dans de bonnes conditions et à l'interpréter selon la grille de lecture universelle.

Par ailleurs, le 2e atelier organisé dans le cadre de la 3ème journée du réseau cardio-métabolique et vasculaire sur les pathologies artérielle et veineuse a porté sur l'index de pression systolique (IPS) qui permet de dépister une maladie des artères des jambes et qui peut causer, en cas de complication, l'amputation des membres, fait-il remarquer.
Mesuré à l'aide d'un petit appareil appelé Echodopler, l'IPS est le rapport entre la pression artérielle systolique mesurée au niveau de la cheville et la pression artérielle systolique mesurée au niveau du bras.

C'est un examen simple et facile à réaliser, estime le spécialiste ajoutant qu'il permet aux médecins généralistes à dépister les maladies à un stade précoce, notamment chez les diabétiques.