Cette découverte pourrait bientôt conduire à de nouveaux tests salivaires "plus simples" et "plus pratiques" que les analyses de sang, selon les auteurs de l'étude, qui soulignent que plus d'un tiers des protéines de la salive se trouvent également dans le sang.

Ces recherches ont également montré que nombre de protéines salivaires sont similaires à celles se trouvant dans le sang dont le rôle a déjà été établi dans notamment "les maladies d'Alzheimer, d'Huntington, de Parkinson, des cancers du sein, colorectal et du pancréas ainsi que dans les deux types de diabète".
L'étude précise que ces chercheurs ont découvert qu'une majorité des protéines de la salive font partie du système central de réactions du corps aux maladies et représentent de ce fait un bon outil diagnostic.