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Revue de presse

Dr Aboubakr, médecin chef de l’EHS de gynécologie obstétrique : « Il faudrait revoir le fonctionnement de la maternité. »

El Watan | Algérie | 21/02/2008

Le Dr Aboubakr Fadllalah est médecin chef et président du conseil médical de l’Etablissement Hospitalier Spécialisé (EHS) en gynéco obstétrique. Il revient dans cet entretien sur les conditions de travail au niveau de cet établissement (Maternité) de 160 lits, récemment remis à neuf, mais qui manque cruellement d’effectifs spécialisés. La maternité a rouvert ses portes il y’a quelques mois seulement, après l’achèvement d’importants travaux de réhabilitation. Quel a été l’impact pour les patients et le personnel médical ?

Sur le plan infrastructure, les travaux d’aménagement ont été salutaires en ce sens que la bâtisse présentait de nombreuses anomalies et souffrait de la stagnation des eaux usées. Pour un établissement hospitalier, une telle situation est inconcevable. Surtout lorsqu’il s’agit d’un établissement qui accueille, en plus des patientes des 52 localités de la wilaya, ceux des régions limitrophes. La charge de travail à l’EHS est énorme.

Vous voulez dire que la maternité connaît un problème de saturation ?

C’est le cas de le dire. Avec une équipe de 4 médecins spécialistes, nous sommes à 9 000 accouchements par un. Le nombre d’interventions dites à froid est en moyenne de 20 par semaine. Quant aux cas présentant une urgence, nous procédons parfois à 15 interventions par jour. Si on doit appliquer les normes universelles en matière de santé, je pense qu’une structure pareille nécessite au minimum une dizaine de spécialistes en gynéco obstétrique, sans parler du personnel paramédical. Il faut que vous sachiez qu’en matière de gynéco obstétrical, l’EHS est le seul établissement qui opère sous célioscopie et qui maintien en activité une unité chargée du dépistage du cancer du colon et du sein. D’ailleurs, la chirurgie cancérologique tient une place particulière à l’EHS.

Que préconisez-vous dans ce cas là ?

Il faudrait penser à rajeunir l’effectif et à réorganiser le mode de fonctionnement de la maternité. Un système de niveau intégrant les structures de santé de base est, aujourd’hui, nécessaire. Faire de l’EHS un centre de performance implique nécessairement une redéfinition de ses missions et une rationalisation des moyens dont il dispose actuellement.

M. Abdelkrim

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