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Revue de presse

26ème congrès national de la SAEM : l’insulinothérapie dans le diabète type 2 en débat

El Moudjahid | Algérie | 11/01/2008

Introduire ou non l’insulinothérapie dans le traitement du diabète de type 2 ? Problématique d’une grande importance qui était au centre des débats de la deuxième journée des travaux du 26e congrès national de la Société algérienne d’endocrinologie et de métabolisme (SAEM) qui ont pris fin jeudi dernier à l’hôtel El-Aurassi qui affecte environ 5% de la population actuelle le diabète de type 2 se caractérise essentiellement par des troubles de glycorégulation. La prévalence de cette maladie ne cesse d’augmenter et pourrait atteindre les 220 millions en 2010, estime l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui préconise l’élaboration d’une stratégie rigoureuse de lutte contre cette maladie, d’autant plus que ses complications s’avèrent plus néfastes.«Le traitement vise à prévenir les complications grâce à un bon contrôle métabolique et à réduire les facteurs de risque cardiovasculaire», a expliqué le Dr A. Boudiba, diabétologue au CHU Mustapha, et d’ajouter que «la meilleure connaissance des mécanismes physiopathologiques du diabète de type 2 et l’introduction de nouveaux médicaments ont été à l’origine de la mise en place d’une stratégie thérapeutique mieux adaptée».

A ce propos, le spécialiste a mis l’accent sur la nécessité d’introduire une insulinothérapie précoce pour éviter les amputations et les risques cardiovasculaires engendrés par les traitements oraux. Selon le Dr Boudiba, le but d’une insulinothérapie ajustée aux besoins de chaque malade est d’améliorer l’équilibre glycémique avec réduction de risques.
Outre, les aspects diagnostiques et thérapeutiques de l’hyperparathyroïdie primitive ont été également abordés au cours de cette rencontre qui a regroupé plus de 200 spécialistes venus des quatre coins d’Algérie. Pour le Pr Lakhdar Griene, chef de service d’hormonologie au Centre Pierre et Marie Curie (CPMC) d’Alger, la prise en charge de l’hyperparathyroïdie, qui est une tumeur bénigne, repose sur le traitement chirurgical. L’attention des spécialistes s’est portée également sur les anomalies mentales qui sont à l’origine des affections thyroïdiennes, comme l’hypothyroïdie et l’hyperthyroïdie.

Dans ce sens, les spécialistes ont précisé que les personnes, dont la glande thyroïde est hyperactive, peuvent montrer des signes d’anxiété et d’excitabilité accompagnés de tristesse et de problèmes de sommeil et d’appétit.

En revanche, une fonction thyroïdienne déficiente peut entraîner progressivement une perte d’intérêt et d’initiative, un ralentissement du processus mental, une mémoire défaillante pour les évènements récents, une perte d’éclat et de vivacité de la personnalité, une détérioration intellectuelle générale, de la dépression à tendance paranoïaque et, éventuellement, la démence et des séquelles permanentes sur le cerveau, si la maladie n’est pas traitée.

A cet effet, les intervenants sur ce volet ont plaidé pour l’exploration précoce de ces anomalies par des testes de fonction thyroïdienne pour entreprendre en temps opportun les traitements appropriés. Pour rappel la 26e édition de la SAEM a été axée notamment sur le syndrome de Cushing qu’une pathologie endocrinienne, dont le diagnostique et le traitement restent difficiles, malgré les travaux de recherche dans ce domaine.

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