Santé Maghreb en Algérie -


encart_diam

Ce site utilise des cookies afin d'améliorer la navigation et mesurer la fréquentation. Pour en savoir plus, cliquez ici


encart_diam_biogaran

Consultez les mentions légales (RCP) des médicaments disponibles dans votre pays


vig_viral_facts


Vous souhaitez vous abonner à Médecine d'Afrique Noire, Médecine du Maghreb ou Odonto-Stomatologie tropicale ? Consulter des articles ? Rendez-vous sur le kiosque d'APIDPM - Plus d'informations


LE KIOSQUE APIDPM

Médecine d'Afrique Noire
Consulter la revue

Médecine du Maghreb
Consulter la revue

Odonto-Stomatologie Tropicale
Consulter la revue


NEWSLETTER

Restez informés : recevez, chaque jeudi, la lettre d'informations de Santé Maghreb.

Inscriptions et désinscriptions

Accueil > Santé Maghreb en Algérie > Revue de presse

Revue de presse

Télé-médecine : un mini-réseau et quelques fausses notes

Le quotidien d'Oran | Algérie | 24/12/2007

Des chercheurs du Centre de développement des technologies avancées (CDTA) ont présenté, hier, au sein du centre sis à Baba Hassan, à Alger, les résultats d'un projet de recherche portant sur la télé-médecine. Il s'agit, selon le chef du projet, Hatem Hocini, d'un mini-réseau pilote de télé-médecine permettant d'interconnecter quatre hôpitaux: deux hôpitaux dans la capitale, hôpital Birtraria et hôpital de Hacène Badi, et deux autres de l'extrême Sud, l'un à Ouargla et l'autre à Adrar. L'objectif étant d'assurer, en premier lieu, la télé-consultation, la formation continue des médecins ainsi que l'aide au diagnostic. En clair, le groupe de chercheurs a monté, avec l'appui et l'assistance du Centre de recherche international du Canada, une plateforme de télé-médecine, à travers laquelle, le personnel médical de certaines régions, pourra suivre des formations continues, par le biais de la vidéo-conférence.

La plateforme conçue par les chercheurs du CDTA, permettra, également, aux médecins de communiquer à travers le web. Ils peuvent ainsi, procéder au transfert d'images médicales, diagnostics, analyses biologiques en toute confidentialité.

Le directeur du centre, Hamid Bessalah a rappelé que la répartition inégale des médecins spécialistes et les coûts élevés du transport des malades d'une région à une autre et l'isolement des médecins par rapport à leurs collègues spécialistes constituent, pour le moment, un véritable obstacle pour le ministère de la Santé. Il a estimé que de tels projets pourraient contribuer à remédier, un tant soit peu, à cette situation. «Notre produit est fiable et concurrentiel compte tenu de son prix», a précisé le directeur du centre. Et d'ajouter: «on espère que le ministère de la Santé s'engage davantage pour la mise en place, dans une deuxième phase de ce projet, d'un réseau national d'unités de télé-médecine par pathologie, piloté par un centre de télé-médecine qui orientera le médecin traitant vers un médecin consultant domicilié dans l'une des unités de télé-médecine», a-t-il précisé.

«L'appropriation de la technologie, à l'opposé de l'acquisition de produits clés en main, constitue, de notre point de vue, l'unique voie permettant de construire une économie fondée sur le savoir», a-t-il estimé.

Pour sa part, le chef du projet Hatem Hocini a mis l'accent sur les difficultés rencontrées dans le montage de ce projet. Il a relevé les retards dans le financement, notamment ceux relatifs aux transferts d'argent, car une partie du projet a été financée par le Centre de recherche international canadien. «Le transfert d'argent a pris beaucoup de retard ce qui a entraîné un décalage dans les délais. Le projet devait en principe, être fin prêt le mois d'août dernier», a-t-il précisé.

Le chef du projet a, également, évoqué des engagements qui ont été pris mais qui n'ont pas été respectés, que ce soit par le ministère de la Santé ou par d'autres partenaires. Il a soulevé le retard dans la signature des conventions avec le ministère de la Santé. D'autres engagements qui concernent l'utilisation du réseau du ministère de la Santé et à la formation des médecins n'ont pas également, abouti, explique le chef du projet. A cela s'ajoutent les désengagements de certains partenaires. Enfin, le groupe de chercheurs a indiqué que ce projet a été appuyé par le ministère de la Santé et a été inspiré des expériences canadiennes et françaises. Le projet, expliquent ces initiateurs, a été financé par le CDTA et le Centre international de recherche canadien (IDRC) avec, évidemment, le soutien technique d'Algérie Télécom Satellite. Ce projet pilote est conçu uniquement pour le service pédiatrie. Il sera, par la suite, généralisé à l'ensemble des spécialités mais tout dépendra, bien évidemment, de la volonté du ministère de la Santé.

Par Z. Mehdaoui

Plus d'articles Algérien - Plus d'articles panafricains


Une question ? Une remarque ? Contactez-nous ?

AlgérieSanté Maghreb en Algérie
Le guide de la médecine et de la santé en Algérie


CARTE DU SITE




Connaissez-vous tous les sites web médicaux édités par APIDPM ?

Médecine d'Afrique noire électroniqueMédecine du Maghreb électroniqueOdonto-Stomatologie électronique

www.santetropicale.com - Le guide de la médecine et de la santé tropicalewww.pediatrieafricaine.com - Pédiatrie africaineRencontres Africaines de Nutrition Infantile (RANI)www.sm2ea.com - Santé de la mère et de l'enfant en AfriquePaludisme d'Afrique noirewww.sorlaf.com - Société d'ORL et de Chirurgie Cervico-Faciale des pays d'Afrique Francophone


Valid XHTML 1.0 Strict CSS Valide !