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Le quotidien d'Oran | Algérie | 17/11/2007
Les médecins résidents voient en cette affectation «une véritable entrave à leur formation spécialisée qui doit déboucher sur l'obtention du DEMS». Ils estiment, également, que «la corporation des spécialistes ne peut assurer cette fonction dans les UMC sans une préalable formation dans ce cadre car, affirment-ils, les urgences exigent de notre part une certaine compétence dans le domaine que certains médecins ne détiennent pas en raison de la spécialité à laquelle ils ont été affectés». Concernant la décision d'établir des listes incluant les résidents, les représentants des médecins indiquent qu'elle a été «élaborée sans aucune concertation ni accord préalable avec les chefs de service et les résidents concernés».
De plus, argumentent-ils, l'article 9 du décret suscité, «parle d'une participation aux gardes des UMC et non pas d'une activité qui doit être imposée à ce personnel médical». L'article repris par nos interlocuteurs stipule, en effet, que «dans le cadre de leurs programmes de formation, les résidents sont astreints à plein temps, sous la direction du corps enseignant et sous la responsabilité du chef de service à participer... aux activités de garde d'urgence et de service».
Dans le même contexte, les représentants des médecins expliquent que «les résidents demeurent des étudiants au vu de la loi. Ils n'ont ni le statut de travailleur, ni celui de fonctionnaire. Aucune réquisition ne peut, par conséquent, leur être appliquée».
Par B. Mokhtaria
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