Le Pr Belazzoug a précisé avoir saisi l’opportunité de la participation de l’Alam aux Jib de Paris pour convenir avec une institution française, spécialisée dans ce domaine, la société "Bio-qualité", la mise en place de ce processus, devant passer par plusieurs étapes afin d’aboutir en fin de parcours à une "accréditation" par un organisme international qui "assure que le laboratoire présente toutes les garanties pour assumer sa mission". Il a également indiqué que ce processus est "très important" dans la mesure où il "permettra au malade d’être bien pris en charge médicalement".

"C’est grâce à des analyses rigoureuses que le médecin pourra faire un bon diagnostic avant de prendre en charge d’une façon optimale le malade, en lui prescrivant le traitement adéquat et en assurant un suivi thérapeutique efficace", a-t-il ajouté.
Pour le Pr. Belazzoug, cette "Assurance qualité" permettra d’"améliorer l’offre de soin aux malades algériens" et de "réaliser des gains importants au Trésor public". "Un bon diagnostic médical signifie un bon suivi thérapeutique. Une maladie diagnostiquée tôt induira des coûts moins importants à supporter par les organismes d’assurance sociale", a-t-il ajouté. Les Jib ont mis à l’honneur cette année l’Algérie. L’Alam a été chargée d’organiser une activité scientifique qui s’est déroulée jeudi après-midi. Cette association a animé le stand Algérie à l’exposition des Jib, drainant un grand nombre de visiteurs et de participants à ces journées scientifiques.