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Le quotidien d'Oran | Algérie | 22/10/2007
Par ailleurs, dans le litige qui oppose les services de la CNAS et les exploitants des cliniques d'hémodialyse où les malades enregistrent un rejet de leurs ordonnances de soins, le directeur de la santé est intervenu dans la procédure d'arbitrage en se référant à l'arrêté ministériel n°07 du 25.02.95, fixant les normes techniques et sanitaires ainsi que l'exploitation et le fonctionnement des unités d'hémodialyse. Les dispositions de cet arrêté stipulent expressément que «le centre ou clinique d'hémodialyse est une unité où seul le traitement de l'insuffisance rénale par les méthodes extra-rénales est dispensé. Ainsi les consultations spécialisées ou de médecine générale ne sont pas autorisées».
Par l'interprétation intrinsèque de ces dispositions, les praticiens des cliniques d'hémodialyse et les services de la sécurité sociale sont rappelés à leurs attributions et que la prise en otage des malades va cesser. Dans le contexte de l'extension de sa toile sanitaire, la DSP a engagé la création d'un centre intermédiaire de soins aux toxicomanes (CIST) à Oued El-Maïz à Guelma dont le coût de réalisation de ses infrastructures est de l'ordre de 25 millions de dinars. Cet établissement est destiné à être le support d'appoint dans la lutte contre la toxicomanie. Sur un autre palier, les travaux sont projetés pour la réalisation de nouvelles infrastructures à Guelma devant recevoir la nouvelle unité d'hémodialyse dont le coût est estimé à 60 millions de dinars.
Aussi, en concertation avec l'Agence nationale du sang (ANS), la wilaya de Guelma envisage la création d'un centre départemental de collecte de sang situé à Belkheir, qui sera équipé d'installations sophistiquées permettant la scission sélective hématologique des poches de sang recueillies entre les globules rouges, les plaquettes et le plasma. Ce futur point sanitaire sera aussi doté d'une clinique mobile pouvant sillonner le territoire de la wilaya et se rapprocher des donneurs de sang.
L'UDS de référence devant renforcer la carte sanitaire scolaire recommandée par les assises nationales de la santé, tenues en 2004, est actuellement en phase de concertation développée entre les directions de la Santé et de l'Education pour la mise au point d'une fiche technique de cette infrastructure destinée aux enfants scolarisés. En ce qui concerne le complexe sanitaire «mère-enfant» dont le coût de réalisation est de l'ordre de 600 millions de dinars, sa réalisation n'est pas encore entamée et patauge dans des procédures interminables.
Les citoyens appellent au bon sens de l'ordre des architectes et des bâtisseurs et autant à la puissance publique pour mettre de la rigueur appuyant la force et la pérennité de la Loi.
Si les constructions sanitaires sont destinées à sauver des vies humaines en valeur absolue, cécité et autisme doivent être exclus.
Par Menani Mohamed
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