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Revue de presse

SIDA : Standardiser les tests de diagnostic

El Moudjahid | Algérie | 14/07/2007

Le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière organise, depuis hier, et ce, durant deux jours, un séminaire-atelier de consensus national sur la mise en évidence des anticorps VIH, à l’Institut Pasteur de Sidi Fredj. En effet, épidémiologistes et biologistes se réunissent pour uniformiser, voire standardiser les tests de l’infection VIH, au niveau du contrôle du sang, la surveillance épidémiologique et le dépistage. Il s’agit, expliquera le Dr Aït Oubelli, chef du programme national de lutte contre les infections sexuellement transmissibles, VIH SIDA, au ministère de la Santé, de définir la place des différents types de tests et les niveaux d’application des trois stratégies de mise en évidence des anticorps anti VIH. Cette rencontre qui associe également les laboratoires d’analyse privés — insistent les organisateurs — et qui intervient après un séminaire sur le diagnostic et la prise en charge biologique, tenu en 2005, répond au souci d’améliorer les méthodes de diagnostic du SIDA à travers le territoire national.

Le président de l’Association nationale des laboratoires d’analyses médicales, le Pr. Bellazoug, précisera, dans ce sens, qu’il existe près de 400 laboratoires à l’échelle nationale qui reçoivent près de 60 % de la population malade, dont un nombre non moins important ne savent pas qu’ils sont porteurs du virus, d’où le rôle de ces établissements dans la sensibilisation sur cette maladie.

Le Pr Bellazoug dira qu’il faut désormais favoriser des méthodes simples et rapides immuno-enzématiques pour le dépistage, réservant le recours aux tests complexes pour la confirmation des résultats, par des laboratoires régionaux ou le laboratoire national de référence.
Pour rappel, au 31 mars 2007, les statistiques relèvent 776 cas de SIDA, dont 30 nouveaux cas, signalés au cours des trois premiers mois de l’année en cours. Pour les séropositifs, l’on avance 2.330 porteurs du virus, dont 155 nouveaux cas. Concernant les centres de référence, le ministère de la Santé, compte 8 qui viennent soutenir les 54 autres pour le dépistage volontaire en Algérie.

A retenir

  • Secteurs public et privé : main dans la main
    "Cette rencontre vise à uniformiser les normes d’analyses, de diagnostic et de dépistage des maladies sexuellement transmissibles (MST) et du VIH/SIDA entre les secteurs public et privé", a précisé le Dr Ghania Merbout, sous-directeur à la direction de la prévention au ministère de la Santé, chargée des maladies transmissibles et de l’hygiène.


  • Dépistage volontaire
    La rencontre qui a réuni des responsables de laboratoires d’analyses biologiques publics et privés. Elle permet aux spécialistes de définir la stratégie nationale à mettre en œuvre dans la mise en évidence des anticorps anti-VIH dans le contrôle du don de sang, la surveillance épidémiologique et le diagnostic et le dépistage volontaire.


  • Le souci de qualité
    Le président de l’Association nationale des laboratoires d’analyses médicales, le Dr Ismail Belazzoug, a précisé que "cette rencontre permet d’améliorer la qualité du diagnostic chez les séropositifs ne présentant aucun symptôme de la maladie en vue de la prévention, la prise en charge de ces personnes et la coordination entre les centres de référence et les laboratoires privés".


  • 400 laboratoires et le souci de ... confidentialité !
Le Dr Belazzoug a précisé que compte tenu de la présence accrue de ces laboratoires (400) dans toutes les wilaya du pays, "60% des malades ont recours au secteur privé pour effectuer des analyses et diagnostiquer des maladies, la plupart préférant le secteur privé par souci de confidentialité".

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