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La Tribune | Algérie | 09/06/2007
Il a en outre affirmé que le CHU de Tizi Ouzou est à sa troisième greffe rénale et que huit autres sont programmées pour le mois en cours. Le professeur Boukari, président de la Société algérienne de néphrologie, dialyse et transplantation, a parlé de la nécessité de «réactualiser l’enseignement» et de l’existence en Algérie de la «liberté de pensée scientifique», avant d’annoncer la tenue dans les prochains jour du 8ème «congres arabe» de néphrologie à Tizi Ouzou. Le Pr. M. Benabadji, pionnier en la matière, a déclaré que l’Algérie demeure l’un des seuls pays en Afrique où l’insuffisant rénal ne meurt pas et où «la prise en charge de la maladie de l’insuffisance rénale chronique est totale», louant le rôle de première importance du secteur privé dans la lutte contre cette maladie.
«Sans le privé, ce serait la catastrophe», a-t-il notamment soutenu. D’autre part, il a affirmé qu’en Algérie, «ce n’est pas le don de rein qui fait défaut, le don existe, mais ce sont les médecins qui ne jouent pas le jeu». Le doyen de la néphrologie n’a pas caché ses multiples réserves quant au recours à la dialyse péritonéale, préférant la greffe rénale qui, selon lui, est «la meilleure alternative pour les malades insuffisants rénaux, qui, après la greffe, ont une meilleure qualité de vie» et a suggéré l’adoption du prélèvement sur les cadavres au lieu des vivants apparentés.
Par Lakhdar Siad
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