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Le jeune indépendant | Algérie | 26/04/2007
Cette rencontre interministérielle entre, en effet, dans le cadre des travaux de la 2e Commission consultative hospitalo-universitaire nationale (CCHUN), formée de 46 membres, tous du domaine de la santé (doyens des facultés de médecine, directeurs généraux et directeurs généraux des CHU).
La commission devra définir les normes idéales vers lesquelles
les services hospitalo-universitaires devront se tourner. Mme Beldjeloul, directrice
de la post-graduation, de la recherche et de la formation, a souligné
la nécessité de mettre en place un «schéma cohérent
et rationnel qui devra servir de guide pour établir un plan général
de formation en sciences médicales».
Elle explique cette nécessité par la pression exercée par
l’effectif estudiantin et l’absence d’enseignants de rang
magistral dans nombre de services hospitalo-universitaires, y compris pour la
capitale. Faisant un état des lieux peu reluisant des services qu’assurent
les CHU au niveau national en matière de manque d’effectifs, la
directrice de post-graduation a relevé que si un nombre de services apparaissent
bien équilibrés avec 1 ou 2 professeurs, 1 ou 2 docents, certains
services comptent un professeur pour 10 maîtres assistants titulaires
(MAT).
S’agissant de l’accumulation des grades des MAI et le faible taux de docents, cette responsable se réfère à des chiffres globaux qui démontrent bien cet état de fait, soit 17 % des professeurs, 11 % des docents et quelque 72 % des MAT.
Par Kahina Benarab
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