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Revue de presse

Renouvellement des conseils de l’ordre des médecins : L’association des praticiens dénonce des « dérives »

Le soir d'Algérie | Algérie | 24/05/2021

À la veille des assemblées des sections ordinales pour le renouvellement de la moitié des conseils de l’Ordre des médecins, chirurgiens, dentistes et pharmaciens, l’Association nationale des praticiens hospitalo-universitaires (ANPHU) s’élève et dénonce par le biais d’un communiqué officiel rendu public hier dimanche. Son président, le professeur Madjid Bessaha, parle de dérives éthiques, déontologiques et réglementaires.

Abdelhalim Benyellès - Alger (Le Soir) - En effet, joint par téléphone, hier, le chef de service de l’hôpital de Béni Messous à Alger dénonce le manque de transparence dans lequel baigne la campagne à la veille de la tenue du renouvellement des structures des conseils de l’Ordre des médecins, chirurgiens, dentistes et pharmaciens. « Ce sont des pratiques qui portent atteinte au code de déontologie médicale », déclare-t-il. Il déplore à ce sujet que « les seules bribes d’informations qui nous parviennent sont celles des élus potentiels ». Et pour cela, le professeur dénonce le manque de transparence, avertissant que « la déontologie médicale n’autorise pas la publicité et la campagne électorale sur les réseaux sociaux ».

Dans le communiqué du l’ANPHU, le président s’interroge sur l’absence des comités d’éthique, de régulation et du code électoral qui devaient veiller au respect de cette déontologie. « Où sont les comités d’éthique ou de régulation, ou du code électoral, qui devaient veiller au respect de cette déontologie pour laquelle nous allons voter ? Sommes-nous en train d’accéder à un terrain de non-droit où tous les coups sont permis pour ce soi-disant renouveau médical ? » est-il mentionné dans le communiqué.

Le professeur Madjid Bessaha déplore qu’« il fut une époque où la déontologie était plus respectée ». C’est dans ce contexte qu’il appelle à revenir aux textes fondateurs, notamment l’arrêté du 13 octobre 1992 définissant les conditions et les modalités d’organisation et de déroulement des élections des premiers conseils régionaux et national de déontologie médicale, dans ses alinéas 2 et 3 de l’article 19 qui stipule que « l’élection au niveau des bureaux régionaux est incompatible avec l’exercice de tout mandat électif politique ou syndical ou responsabilité administrative ».

Et que « l’élu au bureau doit démissionner de tout autre mandat électif ou responsabilité administrative dans les huit jours qui suivent ». Plus explicitement, l’ancien président des conseils de l’ordre élu en 1998 dénonce le cumul des fonctions des membres du conseil. Face aux « dérives » constatées dans la préparation des élections de renouvellement de la moitié du conseil, le président de l’ANPHU menace d’intenter des poursuites judiciaires contre toute action de dénigrement portée contre le personnel médical dans le cadre de la campagne électorale menée sur les réseaux sociaux, afin de « démasquer » les groupes d’intérêts. « Au total, 50 candidatures se sont présentées officiellement dans la course pour le renouvellement des conseils de l’ordre médical, mais seulement 18 d’entre eux sont médiatisés », dénonce le professeur Bessaha. « Nous espérons que les nouveaux-anciens élus s’attelleront à plus de communication sur leurs activités, et veilleront au respect du code de déontologie, de l’éthique professionnelle et de la loi sur la santé. Il ne faut pas continuer à attendre les administrations centrales des ministères de la Santé, de l’Enseignement supérieur et du Travail et des Affaires sociales pour rappeler l’égalité des chances aux concours et promotions de grades, qui doivent se faire dans la transparence et la prise en charge des patients dans les conditions les meilleures », conclut le communiqué.

A. B.

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