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Revue de presse

Les risques des progestatifs seuls mieux connus

El Moudjahid | Algérie | 14/04/2007

Une équipe de l’INSERM vient de prouver que les femmes non ménopausées utilisant un progestatif oral seul, c’est-à-dire sans association avec un œstrogène, seraient davantage exposées au risque de cancer du sein que celles qui n’en prennent pas. Ce danger disparaîtrait à l’arrêt du traitement. Différentes études avaient déjà démontré que l’association oestrogènes/progestatifs de synthèse augmentait le risque de cancer du sein chez certaines femmes ménopausées. Mais la question de l’influence du progestatif pris seul, et avant la ménopause, sur le risque de cancer du sein restait en suspens.

L’équipe de Françoise Clavel-Chapelon vient apporter un premier élément de réponse. « Les femmes utilisant des progestatifs oraux seuls depuis plus de 4 ans et demi, après l’âge de 40 ans et avant la ménopause » auraient « 44% de risque en plus de développer un cancer du sein que celles qui ne suivent pas ce traitement ». Un sur-risque qui serait lié à l’« effet promoteur (des progestatifs) sur les cellules cancéreuses. » Autrement dit, ces substances lorsqu’elles sont prises seules, pourraient accélérer la prolifération de ces cellules.

En revanche, et c’est très important, cet accroissement du niveau de risque disparaîtrait à l’arrêt des progestatifs. Et cela « quelle que soit la durée du traitement » préalable, insistent les auteurs. Ces conclusions ressortent d’une enquête de cohorte prospective, portant environ sur 100 000 adhérentes de la Mutuelle générale de l’Education nationale (MGEN) nées entre 1925 et 1950 et suivies depuis 1990.

Ces résultats concernent un grand nombre de femmes. L’INSERM précise en effet que les progestatifs oraux sont prescrits depuis longtemps et dans un grand nombre d’indications. A titre contraceptif (27% des prescriptions), en cas de douleurs mammaires (47%), contre des affections touchant l’utérus (29%), en cas de troubles de la périménopause (57%), dans les maladies bénignes du sein (20%) ou en cas de syndrome prémenstruel (38% des prescriptions).

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