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Algérie presse service | Algérie | 28/08/2019
Blida - L'ancien service de néphrologie, qui se trouvait au niveau du service de cardiologie et de la médecine interne, sera réhabilité et dédié au développement de la cardiologie, a annoncé, mardi à Blida, le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Mohamed Miraoui.
En réponse à l'APS en marge de la visite de travail dans la wilaya de Blida, le ministre a déclaré que "l'ancien service de néphrologie et d'hémodialyse qui se trouvait au niveau de l'Hôpital Frantz Fanon avant son transfert au Centre hospitalier spécialisé dans la greffe d'organes et de tissus, sera réhabilité et dédié à la cardiologie pour développer cette spécialité au profit des citoyens".
"Nous avons décidé avec le wali, le directeur local de la santé, et les conseils médical et scientifique de transférer les malades du service néphrologie vers un hôpital spécialisé avec des médecins spécialistes en néphrologie et histologie avec des prestations à la hauteur des aspirations du citoyen", a encore déclaré le ministre.
Pour sa part, le directeur de la Santé à la wilaya de Blida, Ahmed Djemai, a indiqué à l'APS que le service d'hémodialyse au niveau du CHU Frantz Fanon a été transféré, samedi dernier, vers le Centre hospitalier spécialisé dans la greffe d'organes et des tissus.
Les insuffisants rénaux dans la wilaya de Blida ont, à plusieurs reprises, protesté contre la dégradation des services et la vétusté des équipements de dialyse et réclamé l'amélioration de leurs conditions de soins.
Mesures coercitives pour mettre fin aux agressions contre les personnels de santé
Qualifiant les agressions contre les personnels de santé d'"inacceptables", M. Miraoui a affirmé qu'il s'agit d'un "délit" et, qu'à ce titre, les mesures qui s'imposent seront prises.
"En cas de manquement de la part d'un membre du personnel médical, c'est à l'administration de prendre les mesures idoines" et pas aux citoyens, a-t-il ajouté.
"Nous dénonçons ces pratiques qui nous sont étrangères, car en tant que peuple musulman nous devons nous respecter les uns les autres", a-t-il poursuivi, soulignant qu"il existe des moyens civilisés de réclamer ses droits".
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