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Revue de presse

24e séminaire national sur l’insuffisance rénale et la greffe rénale

Le jeune indépendant | Algérie | 26/11/2017

Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière : « Nécessité d’accorder une grande importance à la dimension bioéthique dans le domaine la transplantation rénale ». Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Mokhtar Hasbellaoui, a mis l’accent sur la nécessité d’accorder une grande importance à la dimension bioéthique dans le domaine la transplantation rénale, et ce lors de son intervention à l’ouverture des travaux du 24e Congrès national de la Société algérienne de néphrologie, dialyse et transplantation qui s’est tenue au centre internationale des conférences.

« Quand on parle d’insuffisance rénale, on pense immédiatement à la transplantation rénale. Dans ce domaine, la dimension bioéthique ne doit pas être négligée », a souligné le Pr Hasbellaoui.

Dans le domaine du prélèvement des organes et tissus à des fins thérapeutiques, il a rappelé la nécessité de veiller à ce que le prélèvement et la transplantation se fassent “dans le strict respect de l’éthique et de l’intégrité du corps humain à l’effet non seulement de combattre toute forme de trafic d’organes mais aussi de mettre en place des réseaux solidaires qui permettent de prendre en charge la demande en organes dans tout le pays sur des bases éthiques normatives”.

Il a fait observer, à ce égard, que “si dans les sociétés développées le corpus législatif et réglementaire est riche en textes clarifiant les termes du débat et précisant les limites à ne pas dépasser, il n’en est pas de même chez nous”.

“Hormis le texte portant création du Conseil national de l’éthique en sciences de la santé qui a vu le jour au milieu des années quatre-vingts dix, il faudra attendre la promulgation de la nouvelle loi sanitaire pour disposer d’un cadre législatif spécifique prenant en charge les problématiques fondamentales comme la greffe à partir d’un donneur en état de mort encéphalique”, a-t-il indiqué.
Cependant, “nous ne pouvions pas attendre la nouvelle loi pour relancer la greffe.

La mise en place effective de l’Agence nationale de greffe d’organes et de tissus permet d’ores et déjà de préparer les différentes équipes à travailler dans un cadre organisé autour de projets consensuels et à réunir les conditions d’une dynamisation de la greffe”, a-t-il poursuivi.

Il a soutenu, à ce titre, que le lancement du Registre des insuffisants rénaux chroniques dialysés “va permettre de mieux gérer les besoins en greffe rénale y compris la greffe rénale pédiatrique qui doit être développée”.

Dans le même contexte, le ministre de la santé a affirmé que “ce qui est valable en matière de transplantation l’est plus encore dans le domaine de la prévention”, en citant à titre d’exemple l’hypertension artérielle “qui nous interpelle tous”, a-t-il dit.

Evoquant les “pathologies lourdement invalidantes notamment dans les domaines des cardiopathies et des néphropathies” générées par l’hypertension, il a fait observer qu’il s’agit d’”une pathologie qui est non seulement à la confluence des compétences mais elle nécessite aussi une démarche pérenne basée sur une continuité des soins, des soins de proximité et adossés à une organisation en réseaux et intégrée”.

“Le non diagnostic à temps de l’hypertension artérielle ou le non suivi régulier des indications thérapeutiques sont à l’origine de complications sévères aux conséquences multiples tant sur la santé du patient que sur le coût de la prise en charge”, a ajouté

M. Hasbellaoui, d’où l’importance, a-t-il relevé, de la mise en place d’”une politique volontariste de formation continue au profit des médecins généralistes qui constituent la ligne de front à l’effet oeassurer une prise en charge adéquate et de proximité”.

Il a rappelé, par la même occasion, que la nouvelle loi sanitaire, qui est en débat au Parlement, a pour principale vocation “l’adaptation de l’organisation du système national de santé à l’évolution des besoins, tant au plan de la prévention qu’à celui de la prise en charge des soins hautement spécialisés, outre la mise en place de mécanismes novateurs en matière de modes de financement et d’évaluation de l’activité à l’effet de basculer dans une gestion moderne ».

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