Les défauts de qualité enregistrés par le Laboratoire National de Contrôle des Produits Pharmaceutiques (LNCPP) ont baissé à 1% ces dernières années, selon le chef de service de la bio-équivalence du laboratoire, le Pr Kamel Mansouri. Lors d’une conférence-débat organisée jeudi 23 février à Tizi Ouzou par le département de pharmacie de l’université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou à l’auditorium Hasnaoua.

Le Professeur Mansouri a précisé que le nombre de défauts relevés par les experts du laboratoire sur les produits soumis au contrôle a "remarquablement baissé par rapport aux années 1995 et 1996 où le taux se situait entre 3 et 4%".

Selon lui, beaucoup d’irrégularités sont enregistrées notamment sur le plan réglementaire, au moment où les défauts liés et à la qualité sont de moins en moins fréquents. Certaines défaillances font l’objet de correction alors que d’autres, plus graves, induisent un blocage du produit en question, c’est ce qu’il affirmera.