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El Moudjahid | Algérie | 01/03/2006
Une situation due pour l’essentiel, à "une absence de vitamine
D souvent liée à une exposition insuffisante au soleil et (au)
fait que la vitamine D, peu présente dans l’alimentation, est moins
bien synthétisée par la peau avec l’âge" souligne
Ferrari. Sans compter ajoute le Pr Solomon Epstein, Directeur de Recherche à
l’Osteoporosis Center de Doylestown (USA), que "même les aliments
enrichis en vitamine D sont souvent inadéquats. Bien des laitages ’fortifiés’
n’apportent pas les quantités annoncées. Et la plupart des
suppléments alimentaires apportent de la vitamine D2, beaucoup moins
efficace que la vitamine D3" dont nous avons besoin.
La solution bien sûr, c’est de s’en remettre à une
supplémentation par des produits de qualité pharmaceutique. Certains
traitements hebdomadaires contre l’ostéoporose incorporent d’ailleurs
2 800 UI par semaine de vitamine D.
Ce qui correspond exactement aux 400 unités (UI) quotidiennes recommandées
en Europe après 65 ans.
Les Américains eux, proposent la même dose dès 51 ans, et
600 UI après 70 ans. Mais d’après le Pr Uri Liberman de
Tel Aviv (Israël), "nous en arriverons probablement à préconiser
1 000 UI par jour. Car une étude chez 34 femmes ménopausées
nous a montré que l’absorption du calcium alimentaire était
augmentée de 65% chez celles que nous avions traitées avec de
la vitamine D".
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